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BEJAR PASSION

BEJAR PASSION

MES PASSIONS AU FIL DES JOURS

Publié le par Béjar
Publié dans : #Animaux

Les ailes des papillons

Celui-ci c'est un papillon de nuit.
Il a fini par tomber dans l'eau.
Pourtant on a tout fait pour éviter ça.
On l'a repêché et on l'a fait sortir.
On ne l'a plus revu.

Les ailes des papillons sont constitués de minuscules écailles superposées (visible au microscope).
Lorsque l'on touche les ailes d'un papillon, on a l'impression d'avoir de la poudre sur les doigts, il n'en est rien, il s'agit en fait de ces écailles qui constituent l'unité des ailes du papillon (en plus de fournir la pigmentation qui les rends si célèbres et si beaux)
Lorsque l'on enlève cette poudre, on dépossède le papillon de cette herméticité qui lui permet de voler.
(Sources: pourquois.com)

Publié le par Béjar
 Cadeau de Tachka
 
 Merci ma chère Tachka, ta couronne est très belle,
un peu en avance pour Noël mais je te fais confiance
tu fais des essais et moi j'aime montrer ce que tu fais.
Moi je ne suis pas douée pour ça!
Publié le par Béjar
Publié dans : #Mes poésies

 Reprise d'un article que j'avais écrit au début de mon blog.

 

Odyssée d’une goutte d’eau

 

Elle a jailli de sa source, enfin libérée

De cette gangue de roche brune et glacée,

Petite goutte d’eau pure, un peu perturbée,

Glissant, fragile, sur les pierres vernissées.

Un courant malin l’entraîna dans son sillage,

Dévalant des pentes abruptes et ourlées

D’arbrisseaux échevelés et de fins herbages

Givrés, l’embellissant de merveilleux reflets.

Elle fila, heureuse, entre des saules nacrés

Se courbant sur son propre miroir diaphane,

Puis s’étala, ivre, sur des sablons ocrés,

Bercée par la brise et sa mélodie profane.

Les tout premiers rayons de l’aube la surprirent

Et charmée, l’attirèrent, telle Loreleï

Par des visions de lointains atolls de corail.

De ruisseau en rivière, de rivière en fleuve,

Elle traversa des campagnes et des saisons,

S’accrochant parfois à des esquifs qui se meuvent,

Légers, l’entraînant vers de nouveaux horizons.

Enfin, l’irrésistible océan l’enjôla,

L’enroulant dans des vagues prises de folie,

La rejetant, en rugissant, avec fracas

Contre des carcasses ou des récifs maudits.

Ballottée  par ce mouvement perpétuel,

Perdue, elle allait sombrer vers des fonds hostiles

Quand enfin, un ange la posa sur son aile

Et délivra la petite goutte fragile

Qui nous retrouva sur terre en larme de pluie,

Petite goutte d’eau, miracle de la vie.


                                        Yvette 

                               

Publié le par Béjar

Vous souvenez-vous?

 

François Villon

Ballade des Dames du temps jadis

Dites-moi où, n'en quel pays,
Est Flora la belle Romaine,
Archipiades, ne Thaïs,
Qui fut sa cousine germaine,
Echo, parlant quant bruit on mène
Dessus rivière ou sur étang,
Qui beauté eut trop plus qu'humaine ?
Mais où sont les neiges d'antan ?

Où est la très sage Héloïs,
Pour qui fut châtré et puis moine
Pierre Esbaillart à Saint-Denis ?
Pour son amour eut cette essoine.
Semblablement, où est la roine
Qui commanda que Buridan
Fût jeté en un sac en Seine ?
Mais où sont les neiges d'antan ?

La roine Blanche comme un lis
Qui chantait à voix de sirène,
Berthe au grand pied, Bietrix, Aliz,
Haramburgis qui tint le Maine,
Et Jeanne, la bonne Lorraine
Qu'Anglais brûlèrent à Rouen ;
Où sont-ils, où, Vierge souvraine ?
Mais où sont les neiges d'antan ?

Prince, n'enquerrez de semaine
Où elles sont, ni de cet an,
Que ce refrain ne vous remaine :
Mais où sont les neiges d'antan ?

Publié le par Béjar
Publié dans : #bucolique

La sève des arbres

 

Dans la campagne arthonnaise 

 

 

La montée de la sève dans les arbres est dûe à deux phénomèmes :
Le premier et le plus connu, c'est la capillarité,

c'est-à-dire que la finesse des faisceaux permettant

à la sève de circuler fait monter le liquide,

comme le café dans un sucre posé à sa surface.
Mais la raison la plus importante, est l'évaporation qui donne naissance

 à une véritable ''pompe à sève'' naturelle des arbres.
En effet, sous l'effet du soleil, l'eau contenue dans les feuilles de l'arbre s'évapore,

au fur et à mesure que l'eau des feuilles disparaît,

la feuille ''aspire'' la sève des branches

(le vide créé par l'évaporation crée une mini-dépression qui aspire la sève).

(source: pourquois.com)

 

C'est aussi pourquoi , on voit l'arbre pleurer quand on lui coupe une branche.

Je n'aime pas couper les arbres !

Je taille mais dans le même esprit que je coupe les cheveux.

Mais je ne veux pas couper la cime d'un arbre.

Et c'est ce que veut faire l'élagueur à notre chêne.

Je l'ai vu naître, c'était un gland.

Moi, vivante, on ne lui coupera pas la tête !

Je vous le dis !!

Publié le par Béjar
Publié dans : #Mes poésies



Le ressac

 

 

 

Toi et moi, le nez dans le léger vent salé,

Nous allons heureux, les cheveux ébouriffés,

Ma main dans ta main et le teint un peu hâlé,

Sur le sable mouillé comme deux assoiffés.

 

A l’horizon, une juxtaposition

Lointaine de plusieurs tons de bleu roi du ciel,

Myosotis, et émeraude en déclinaison

De l’océan, forme une étendue  irréelle.

 

Des vaguelettes alanguies lèchent la grève

Et la festonnent d’écume et de coquillages.

Des rochers crénelés hérissent en orfèvre,

La rive, d’écueils pittoresques et sauvages.

 

Ressac de la vague. Souvenirs doux-amer

De fines algues vertes au parfum iodé,

Evoquant mon enfance au bord d’une autre mer

Aux plages de galets, de soleil inondées.

                                                                        Yvette

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