MES PASSIONS AU FIL DES JOURS
Coutumes françaises...
Il existait en France une coutume ancestrale aujourd'hui oubliée et dont ne subsiste que la tradition des étrennes : les visites du nouvel an. De façon tout à fait rituelle et formalisée, on
rendait visite, dans les quinze jours qui suivaient le 1er janvier, à son entourage proche, famille et amis, mais aussi à ses collègues de travail, à son patron, et même à des familles pauvres ou
des malades dont on avait à coeur d'embellir ces jours festifs par des dons et des marques d'amitié. Cependant ces visites obligatoires étant perçues comme très contraignantes par beaucoup de
gens, l'usage apparut de les remplacer par un passage éclair au domicile de la personne et la remise au concierge d'une carte de visite agrémentée de voeux. Parallèlement à cet usage attesté par
des manuels de savoir-vivre du début du XXème siècle, perdurait également la coutume ancestrale de l'envoi de lettres au moment de la nouvelle année. On profitait en effet du prétexte des voeux à
souhaiter pour renouer des amitiés distendues, ou se rappeler au bon souvenir de connaissances éloignées géographiquement. La carte de voeux telle que nous la connaissons aujourd'hui,
c'est-à-dire illustrée et comportant une mention de souhaits, devint peu à peu la meilleure alliée de ces deux pratiques. Vers les années 30, l'usage se perdit d'utiliser une carte de visite ou
un papier à lettres pour écrire ses voeux, et la carte de voeux se répandit massivement.
Source: Dromadaire
Cherchell
A l'origine était la carte de Noël...
La tradition d'envoyer ses souhaits à l'occasion de la nouvelle année sur une carte de voeux est une pratique née en Angleterre et désormais très répandue de par le monde, en Europe, aux
Etats-Unis, au Japon. Tout commença en Grande-Bretagne en 1840 avec l'apparition du premier timbre-poste qui facilita grandement l'échange de courriers. Peu après, la découverte du procédé de
lithographie popularisa l'envoi des cartes de Noël, cartes en couleurs décorées de gui, de houx, de crèches ou encore de sapins enneigés. Les cartes de Noël, que l'on envoyait durant la période
de l'Avent, avaient pour fonction de souhaiter un Joyeux Noël à son entourage, mais pouvaient, à l'occasion, servir également à envoyer ses voeux pour la nouvelle année. La coutume anglaise se
répandit dans toute l'Europe, et il devint de bon ton en France d'envoyer une « carte de Christmas ». Cependant, tandis qu'en Angleterre et dans d'autres pays un glissement intervenait dans
l'utilisation de ces cartes (qui devenaient progressivement des cartes de voeux pour souhaiter la nouvelle année), la coutume anglaise importée suivit en France une évolution sensiblement
différente.
Source:Dromadaire
Piriac sur Mer
C'est un petit chemin tout triste,
il longe une falaise et personne ne l'emprunte.Les gens ont peur de tomber
et préfèrent les routes plus fréquentées.Pour le consoler de sa tristesse,
la mer lui raconte son histoire d'amour avec le ciel.Elle lui dit la magie des rencontres merveilleuses.
Le petit chemin se dit qu'il faut garder l'espoir et sourire.
Qui sait, peut-être qu'un passant posera son regard sur lui et s'y engagera?
Il est si beau ce petit chemin!
Il suffirait d'y poser juste un pied pour être envahi par sa luminosité,
son odeur, ses couleurs, ses fleurs, ses papillons.
La mer qui n'arrête pas de chanter pour le ciel charme les oreilles.
Et le ciel quant à lui revêt ses plus beaux nuages, son plus bel arc-en-ciel.
Le petit chemin ravirait le cœur, l'âme, les sens de ceux qui l'emprunteraient.
Un fils demanda à sa mère :
- Maman, pourquoi pleures tu ?
Elle répondit :
- Parce que je suis une femme.
- Mais. je ne comprends pas.
La mère se pencha vers lui, l'embrassa et lui dit :
- Mon amour, tu ne comprendrais pas.
Plus tard l'enfant demanda à son père :
- Papa, pourquoi maman pleure régulièrement sans raison ?
L'homme répondit :
- Toutes les femmes pleurent souvent sans raison, mon fils.
C'est tout ce que le père répondit.
Le petit enfant grandit et devint un homme.
Et de temps à autre se demandait :
- Mais pourquoi les femmes pleurent sans raisons apparentes ?
Un jour cet homme s'agenouilla et demanda à Dieu :
- Seigneur, dis moi pourquoi les femmes pleurent avec autant de facilité ?
Et Dieu lui répondit :
- Quand J'ai conçu la femme,
Je me devais de créer quelque chose de spécial.
J'ai fais ses épaules suffisamment fortes,
capables de supporter le poids du
monde entier. Mais suffisamment délicates pour le réconforter !
Je lui ai donné beaucoup de force intérieure pour qu'elle puisse supporter
les douleurs de l'accouchement,
et aussi le mépris de ses propres enfants.
Je lui ai donné la force qui lui permet de toujours prendre soin de sa
famille sans faiblir, malgré les obstacles et la fatigue,
alors que d'autres auraient baissé les bras !
Je lui ai donné la sensibilité d'aimer ses enfants quelles que soient les
circonstances, bien que ceux-ci l'ai beaucoup blessée.
Cette sensibilité lui permet de consoler n'importe quelle tristesse, pleure,
ou souffrance d'enfant, et partager les anxiétés, doutes, et peurs d'adolescent !
Malgré tout, pour qu'elle puisse supporter tout ça, Je lui ai donné les larmes,
elles sont exclusivement siennes,
pour qu'elle les utilise quand elle en a besoin.
En les laissant couler, la femme abandonne en chaque larme un peu d'amour.
Ces larmes d'amour qui éparpillées par le vent, sauvent l'humanité !
Je ne me souviens plus où j'ai récupéré ce joli texte.
Ne pas m'en vouloir, j'ai recherché mais je n'ai pas trouvé.
Donc je ne sais pas qui en est l'auteur.
Gouraya et les guerres
puniques
Je vous ai parlé de l'Algérie mon Pays Natal et surtout d'un petit village (petit à l'époque de mon enfance!) : Gouraya.
Si dans les environs, il y avait beaucoup de vestiges Romains tels qu'à Chechell, à Gouraya il y avait des tombeaux puniques. Si j'en fais mention dans cet article, c'est
parce que c'est une richesse archéologique, et que j'aimerai savoir ce que sont devenus ces vestiges phéniciens.
Le nom « Phénicien» se
vit transformé en « Punique» au moment de la guerre entre Carthage et Rome. Cependant aucun texte ne subsiste des "Puniques".
Et comme personne ne connaissait l’écriture punique, - écrite uniquement avec des consonnes ! - il ne reste plus beaucoup de renseignements.
J'ai lu beaucoup de textes mais peu sur Gouraya, si ce n'est que des fouilles ont mis cette nécropole punique en évidence vers 1930.
J'essaierai d'en savoir plus mais en attendant, je rapporte ce qu'en dit Wikipédia. Et si quelque érudit peut me renseigner, je serais ravie. A vos
encyclopédies!!!!
Guerres puniques
Un article de Wikipédia
Les guerres
puniques constituent une série de trois conflits qui opposent sur près d'un siècle la Rome antique et la civilisation carthaginoise1. La cause
principale des guerres puniques est un conflit d'intérêts entre l'empire carthaginois et une République romaine en pleine expansion. Au départ, les Romains
convoitent la Sicilequi est en partie contrôlée par les
Carthaginois. Au début de la Première Guerre punique, Carthage qui constitue un vaste empire maritime est la puissance dominante de la mer Méditerranéealors que Rome est la puissance montante en
Italie. À la fin de la Troisième Guerre punique, après plus de
cent ans de conflit et la mort de centaines de milliers de soldats des deux côtés, Rome parvient à conquérir l'empire carthaginois et à raser Carthage, devenant le plus puissant État de la
Méditerranée occidentale. Avec la fin des guerres de
Macédoine — qui se déroulent en même temps que les guerres puniques — et la défaite de l'empire des Séleucidesen Méditerranée orientale, Rome émerge comme la puissance dominante
en Méditerranée et la plus puissante ville du monde classique.
Ceci marque un
tournant qui signifie que la civilisation de l'ancienne Méditerranée serait transmise au monde moderne par l'Europe plutôt que par l'Afrique. Les victoires romaines sur Carthage à l'occasion de
ces guerres donnent à Rome un rôle prépondérant qu'elle conservera jusqu'à la division de l'Empire romain entre l'Empire romain d'Occident et l'Empire romain d'Orient par Théodose en 395.
Suite sur Wikipédia: http://fr.wikipedia.org/wiki/Guerres_puniques
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