MES PASSIONS AU FIL DES JOURS
J'ai reçu un mail tout à l'heure, je vous en recopie le texte
N'est-il pas bizarre qu'une telle expression ait pu apparaître ?
A moins de disposer d'un oreiller spécial en forme de U, d'être un tantinet difforme ou d'être un extra-terrestre avec les yeux à la place des oreilles et
inversement, comment quelqu'un pourrait-il dormir sur ses deux oreilles ?
Cette expression fait malheureusement partie de celles sur lesquelles ni mes sources 'savantes' ne s'étendent, ni le web ne donne de piste de
recherche : aucune date approximative d'apparition, aucune étymologie.
Peut-être y a-t-il eu une volonté de créer une opposition avec l'expression "ne dormir que d'un oeil" qui, elle, est parfaitement compréhensible et contient
une notion de vigilance contraire à l'insouciance véhiculée par notre expression ?
Elle est peut-être aussi née du fait que, si jamais on arrivait à avoir les deux oreilles appuyées sur l'oreiller, l'absence de perception du bruit,
permettrait de dormir sans être dérangé.
Remarquez que, pour un très bon somme, il est physiquement bien plus facile pour tout un chacun de "dormir à poings fermés" que de dormir sur ses deux
oreilles.
Sources: expressio
Photo prise de l'île clémentine
La Divatte
Encore un beau ciel
Les îles de Loire
La Loire ceinture de ses bras argentés
Des îles vertes encerclées de peupliers,
Luttant comme des bateaux contre le courant
Des vagues empourprées par le soleil mourant.
Elle caresse leurs berges de ses frissons
Quand la marée s’étale sur le sable blond,
Formant des grèves sereines sous le couchant
Et les laissant endormies par son divin chant.
Un peintre le pinceau de martre au bout des doigts,
Parachève son œuvre sur le fleuve Roi.
Inlassable, il voit filer par delà son tableau
La lumière éphémère en écaille sur l’eau.
Des mouettes aux ailes d’or dans le soleil bas
Lancent leurs derniers cris avant le trépas
D’un jour en lambeaux sur le ruban changeant
De cette Loire, en chapelet de diamant
Yvette
La Loire vers Champtoceaux à l'est de Nantes.
La vie d'un fleuve d'après mon ami Chawki
J'ai reçu de sa part un commentaire sur une de mes photos sur la Loire
et j'ai trouvé ça tellement "vrai" que je vous le livre.
Suivre un cours d'eau depuis sa source jusqu'à l'embouchure,
c'est comme si l'on avait parcouru la vie d'un humain.
À la naissance, c'est les premiers balbutiements,
doucement mais sûrement.
Puis arrive le crescendo de l'impétuosité de la jeunesse,
il est fougueux.
À l'âge de la mâturité et de la sagesse,
il se calme et avance à pas mesurés.
Au seuil de la mort, n'ayant plus d'énergie,
il peine,
il ahane.
Moi je n'ai pas de chat boudeur! et vous?
Mais il est vrai que je ne refuse jamais mes genoux!
Ici la loire est calme
Pourtant elle n'est pas loin de se jeter dans l'Océan
Nous sommes au Pellerin
Photo trouvée sur Internet
Conjurer le mauvais sort.
La signification de cette expression est explicite : il ne s'agit là que d'un geste superstitieux, souvent accompagné de la parole "je touche du bois !", tout aussi efficace que de
"croiser les doigts" ou de se signer, selon les convictions ou les habitudes de chacun.
Ce geste est supposé empêcher que des bâtons viennent se mettre dans les roues des projets de celui qui y participe ou lui permettre d'exaucer ses voeux de santé, de gain au Loto...
Apparemment, cette superstition remonte à très loin, puisque les les Perses et les Egyptiens la pratiquaient déjà.
Pour les premiers, ce serait parce qu'ils pratiquaient le 'mazdéisme' religion dans laquelle le fait de toucher du bois permettait de se mettre sous la puissance protectrice
d'Atar, le génie du feu.
Pour les seconds, ce serait parce qu'il pensaient que le bois diffusait une forme de magnétisme bénéfique.
Au Moyen Âge, les chrétiens disaient que l'habitude de toucher du bois venait de ce que le Christ avait été sacrifié sur une croix en bois : toucher du bois était donc une
forme de supplication ou de prière qui permettait de se protéger de l'adversité.
Source: Expressio
Nombre de visiteurs depuis le 04 04 2008
399 070
Abonnez-vous pour être averti des nouveaux articles publiés.
Merci de votre visite.
N'hésitez pas à revenir,
la porte est ouverte
de jour comme de nuit...
Les poèmes signés Béjar ou Yvette
sont ma propriété et je vous demande de ne pas me les "emprunter" sans mon autorisation.
Merci à vous et à bientôt
Mon livre sur Gouraya.
Hébergé par Overblog