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BEJAR PASSION

BEJAR PASSION

MES PASSIONS AU FIL DES JOURS

Publié le par Yvette
Publié dans : #Expressions françaises

 

 

 

 

 

taureauPrendre le taureau par les cornes.

Si l'on en croit les peintures rupestres laissées par nos ancêtres, le taureau a depuis la nuit des temps été le symbole de la force, mais également du danger. "Prendre le taureau par les cornes" (apparue au XVIIe siècle) signifie que l'on fait face aux difficultés plutôt que de les fuir, tout comme les anciens auraient choisi d'affronter les cornes du taureau au lieu de chercher à les éviter.

 

« Serait-ce à toi qu’il obéirait? Il faut toujours attaquer le taureau par les cornes, une fois qu’il a vu l’inutilité de ses défenses et de sa force, il est dompté. » Balzac, Le contrat de mariage.

 

 Moi je suis du signe du taureau et mon mari du bélier. Et vous?

On dit que deux bêtes à cornes ne peuvent pas s'entendre, nous sommes mariés depuis 48 ans et pas de divorce en prévision!!!

Publié le par Yvette
Publié dans : #bucolique

 

  

  Superbe Vidéo sur notre Terre à admirer


http://www.youtube.com/watch_popup?v=2HiUMlOz4UQ&vq=large

 

 

 

Notre terre


Terre, dont les âpres rivages
Et les promontoires géants
Refoulent les vagues sauvages
Que soulèvent deux océans ;

Terre qui, chaque avril, émerges,
Toute radieuse, à travers
La cendre de tes forêts vierges
Et la neige de tes hivers ;

Terre richement variée
De verdure et de floraisons,
Que le Seigneur a mariée
Au Soleil des quatre saisons ;

Reine des terres boréales,
Qui, sans mesure, donnes l’or,
L’or et l’argent des céréales,
Sans épuiser son grand trésor ;

Terre qui, d’un prime amour veuve,
N’a cessé de donner le sein
Au peuple, qui de toute épreuve,
Échappa toujours, sauf et sain ;

Terre de la persévérance,
Terre de la fidélité,
Vivace comme l’espérance,
Sereine comme un ciel d’été ;

Terre dont la race évolue
En nombre, en verdeur, en beauté,
Notre Terre, je te salue,
Avec amour, avec fierté !

Nérée Beauchemin, Patrie intime

Publié le par Yvette
Publié dans : #Gouraya algérie

Souvenirs de Gouraya, nos tartines. 

 

tartine

 

Je revois nos  goûters à Gouraya.

Pas de beurre, c’était une denrée très rare, de plus il était doux.

Pas ou peu de chocolat.

Nous nous contentions d’une tartine de pain,

sur laquelle nous déposions une couche plus ou moins épaisse de sucre en poudre

 (moins pour moi car je n’aimais pas trop le sucre !)

 et sur ce sucre, nous faisions couler un mince filet d’eau

- c’était tout un art ! - pour le maintenir en place.

 Ou bien on recouvrait la tartine avec de l’huile d’olive ou du saindoux avec du sel.

Maman faisait aussi de la confiture de patates douces, c’était un régal.

Publié le par Yvette
Publié dans : #Expressions françaises

 

 

 

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Chaque fois qu'on observe un animal,

on a l'impression qu'il y a là un être humain

en train de se foutre de nous.
CANETTI Elias  

 

Quand un homme imite un singe,

c'est toujours pour rire du ridicule de l'animal.

Quand on me dit que "le singe imite l'homme",

je ne le vois pas différemment.
FERET Julien     

 

 

 

 

 

 

Publié le par Yvette
Publié dans : #Les mystères du chat

  Le chat aime se frotter aux objets

 

DSC02237 bis

 En se frottant à nos jambes, à nos meubles, partout où ça leur plaît, les chats déposent les sécrétions grasses de leurs glandes sébacées. C'est leur odeur qu'ils déposent, c'est en  fait leur carte d'identité , une carte d'identité olfactive.

Ceux qui passent derrière eux savent qui est passé par là. Chacun y lit ces odeurs et traduit ces informations. Pas besoin de papiers !!!

Les glandes sébacées qui produisent cette sécrétion sont surtout concentrées sur les joues, le front, les babines et les lèvres de nos greffiers!

C'est une façon d'affirmer l'étendue de leur territoire! Et la grimace qu'ils font quand ils détectent une odeur inconnue, vaut le coup d'être prise en photo!

Publié le par Yvette
Publié dans : #Peinture et poésie

 

Cortes André vaches à la mare

    André Cortes , Vaches à la Mare

L'abreuvoir

En un creux de terrain aussi profond qu'un antre,
Les étangs s'étalaient dans leur sommeil moiré,
Et servaient d'abreuvoir au bétail bigarré,
Qui s'y baignait, le corps dans l'eau jusqu'à mi-ventre.

Les troupeaux descendaient, par des chemins penchants :
Vaches à pas très lents, chevaux menés à l'amble,
Et les boeufs noirs et roux qui souvent, tous ensemble,
Beuglaient, le cou tendu, vers les soleils couchants.

Tout s'anéantissait dans la mort coutumière,
Dans la chute du jour: couleurs, parfums, lumière,
Explosions de sève et splendeurs d'horizons ;

Des brouillards s'étendaient en linceuls aux moissons,
Des routes s'enfonçaient dans le soir - infinies,
Et les grands boeufs semblaient râler ces agonies.

                        Emile Verhaeren

Publié le par Yvette
Publié dans : #Peintres célèbres

 

 

Beraud Eloi-noël canal à venise 1875 957

 

 

         Éloi-Noël Bouvard: Venise, le canal

Éloi-Noël Béraud est un peintre français qui a signé ses œuvres de nombreux noms dont les plus connus sont Bouvard, et Marc-Aldine.

né le 26 décembre 1875 à Saint Etienne. L'état civil déclare et inscrit "Éloi-Noël Isodore Béraud né de parents inconnus". En 1885, l'assistance publique l'envoie en famille d'accueil à Toul où il restera jusqu'au 10 février 1894. De retour à Saint-Étienne, il suit les cours des Beaux Arts où il copie avec virtuosité les Maîtres anciens.

[Extrait du livre de Ludovic Saulnier] Dès 1900, son style s'affirme, il peint de belles toiles aux accents barbizonniens ainsi que de nombreuses scènes typiques de l'Art Nouveau qu'il signe N. Béraud ou quelquefois Pelletier. À cette époque, il utilise fréquemment l'aquarelle et la gouache, techniques qu'il abandonnera à la fin des années 20.

1914-1918 : la Grande Guerre fait rage, et pendant ces tristes années, Éloi-Noël n'en demeure pas moins artiste. Il ramène de ces heures sombres de nombreux croquis, dessins, aquarelles qui témoignent encore et toujours d'un talent affirmé mais surtout éclectique.

1930 est une années capitale, qui va marquer à tout jamais le destin pictural du Maître... En avril, il part à la découverte de Venise. L'effet est instantané, la beauté du site le subjugue, il est conquis et décide de se consacrer désormais à ne plus peindre que Venise.

En mai, il rencontre au motif Rubens Santoro (1859-1942). A cette époque, l'italien est au fait de sa gloire ; il va faire découvrir à Éloi la lumière particulière de la Cité des Doges, les scintillements et les reflets si impressionnistes de l'eau s'écoulant entre les canaux, toutes les variations de brun, d'ocre, de blanc ou de marron qui forment les tons des façades des maisons vénitiennes.

Alors que notre ami connaissait déjà un franc succès avec ses travaux précédents qu'il signe Béraud, Pelletier ou encore Luda, Morscio eut l'idée d'un pseudonyme plus commercial et à la consonance transalpine, Marc Aldine. Cette signature deviendra un des deux surnoms qu'il apposera désormais sur toutes ses toiles jusqu'à la fin de sa carrière.

Son deuxième surnom apparaitra à la fin des années trente, à la demande de la galerie anglaise Whitgift Galleries qui, pour distinguer ses commandes par rapport à celles de Morscio, décide qu'il signera Bouvard, nom bien français qui plaît au marché britannique.

Dès le début de sa collaboration avec Morscio et la Withgift Galleries, et jusqu'à la fin de sa carrière, Eloi-Noël ne peindra plus que des vues de Venise signées Marc Aldine ou Bouvard. Entre 1930 et 1957, il peindra presque 600 toiles.

Parallèlement à sa propre carrière, Éloi forme son fils Georges à partir de 1932. Il lui prodigue ses conseils et lui révèle ses astuces et techniques. En 1941, à la naissance la fille de Georges, Éloi et lui travaillent ensemble, avec dans l'esprit du Maître que Georges lui succède.

Il décède le 9 février 1957 à l'âge de 82 ans dans la maison familiale.

Sources Wikipédia.

Publié le par Yvette
Publié dans : #Les ponts de Nantes

 

 

 

260px-Nantes pont wbrandt-20080208-01Pont Willy Brandt, la Loire à Nantes 

 

Le pont Willy-Brandt est l'un des ponts Nantais qui traversent la Loire, plus exactement le bras de la Madeleine. Il relie les quartiers de Malakoff et du Pré Gauchet (gare SNCF, stade Marcel Saupin en restructuration) à l'Île Beaulieu (palais des Sports, centre commercial). Dû à l'architecte Charles Lavigne, il s'agit d'un pont en béton précontraint constitué de 3 travées par encorbellements symétriques.

Moi ça ne me dit pas grand chose tous ces termes, mais je le trouve beau ce pont. Pas très vieux il a été inauguré en 1995.

Sources et photo Wikipédsia 

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