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BEJAR PASSION

BEJAR PASSION

MES PASSIONS AU FIL DES JOURS

Publié le par Yvette
Publié dans : #divers
Pas tout à fait dans cet état mais presque.

Pas tout à fait dans cet état mais presque.

Ce n'est pas fini alors  un autre petit arrêt!

 

Je mets mon blog un peu en repos.

Ce n'est pas le cas pour moi.

Nous avions une clôture en mauvais état

et  nous en faisons faire une autre en mieux:

 Anti évasion-chats.

Mais il faut quand-même mettre  la main à la pâte.

Nous commencions à désespérer,

mais les travaux ont débuté hier.

Et le béton avec les brouettes ...

vous devinez, la mamie dans quel état elle est!

Ce qui fait que les petiots sont coincés

pendant la durée des travaux.

Alors à bientôt!

   Yvette.

 

 

Du solide! Du haut, 2m ! Avec retour vers l'intérieur.

Du solide! Du haut, 2m ! Avec retour vers l'intérieur.

Publié le par Yvette
Publié dans : #Les mystères du chat

Quelle patience a le chat !

Il est capable de nous donner des leçons de sagesse.

Il suffit de l'observer!

On croit qu'il dort, qu'il médite,

mais non il surveille, figé comme une statue .

Il surveille ses comparses,

il VOUS surveille sans que vous ne vous en doutiez!

A cela Féline est experte!

Elle restera cachée derrière un fauteuil prête à sauter sur Sissou ou Patapon pour leur faire peur! Et cela dure longtemps, il arrive que le sommeil l'emporte mais elle se reprend vite.

 

 

 

Publié le par Yvette
Publié dans : #Loire, #sable
A cet endroit de la Loire: il n'y aplus de sable mais de la vase!!

A cet endroit de la Loire: il n'y aplus de sable mais de la vase!!

Le sable de Loire,

 Le sable de Loire n’est pas une denrée inépuisable. La ‘’production’’ annuelle de sable par la Loire est estimée entre 500 000 et 1 million de tonnes. Tant que l’extraction du sable ne disposait que de moyens artisanaux, le prélèvement humain était largement inférieur à cette production. La situation a changé au cours des dernières décennies du XXe siècle. L’extraction s’est industrialisée en même temps que les besoins augmentaient. Il est vrai que le sable de Loire est un sable d’excellente qualité. En 1972, il en fut prélevé 5 millions de tonnes rien qu’en Maine-et-Loire et Loire-Atlantique. En 1982, il fut décidé que tout prélèvement de sable de Loire cesserait à la fin 1992. Cette décision permet au fleuve de restaurer ses réserves de sable, nécessaires à son équilibre écologique. Elle permet aussi au fleuve de recommencer à apporter du sable en mer lequel est nécessaire à l’équilibre de la côte et au maintien des plages. Depuis des décennies, les maraîchers nantais utilisaient du sable de Loire : 500 tonnes par hectare et par an. Leurs besoins annuels sont évalués à 600 000 tonnes. Après certains semis (carotte, mâche, radis), un fin voile de sable était épandu sur le sol. Cet apport contribuait au fil des ans à alléger les sols trop lourds ; ces sols se réchauffaient plus vite au printemps. Ce sable contribuait ainsi à la précocité, à la qualité, à la saveur et à la réputation des légumes nantais. Les maraîchers nantais utilisent maintenant du sable de mer dont une partie vient probablement de la Loire.

Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Loire

Voilà ce qui arrive quand on tire trop sur la corde, l'estuaire est tout envasé, il faut aller plus en amont pour trouver des bancs de sable! Je souhaite de tout coeur  que cela revienne comme avant!

Publié le par Yvette
Publié dans : #Mes chats d'occasion

Dans la série: "les chats de ma vie"

Voici une histoire qui m'a beaucoup marquée,

 celle de mon petit Filou

 Extrait de mon livre: "Une bien belle petite famille "

Filou avec son grand copain Bip, tous deux disparus , hélas!

Filou avec son grand copain Bip, tous deux disparus , hélas!

Filou le petit mignon 1993

 

C’était un petit chat gris minuscule, suffisamment grand pour avoir quitté sa mère mais encore trop petit pour subvenir à ses besoins.

Notre voisin avait une vieille petite remise dont le toit était en partie ouvert du côté de notre terrain. Patricia et moi étions sûres d’avoir entendu des miaulements de bébé chat dans le secteur mais nous n’arrivions pas à en distinguer la provenance. Comment faire ? Les voisins n’étaient pas là. Nous entendions toujours ces petits cris de détresse et nous n’étions là que pendant notre heure de repas, il fallait retourner travailler. Enfin, nous le vîmes. Vite un escabeau, des chaises ; nous avons essayé de l’attraper, impossible de le tirer à nous. Il s’était glissé sous des planches et nous lui aurions cassé un membre. Il fallait le relâcher.

Le soir, il était toujours dans le même secteur. Alors a commencé le long apprentissage. Nous l’avons laissé dans cet endroit puisqu’il s’y sentait en sûreté. Il faisait chaud, nous étions en juin 1993. Je lui ai appris à manger du pain trempé dans un peu de lait, puis un peu de soupe des autres chats, mais il n’était pas toujours présent, et quand l’assiette était vide je ne savais pas si c'était lui qui avait mangé. Et puis, il fallait renouveler souvent car par la chaleur, cela aigrissait et les mouches abondaient dans le coin. Il a réussi à grossir un peu. On lui parlait beaucoup car on le  voyait sur le toit. Il avait fini par s’habituer à nous.

suite plus bas

 

 

Une opération qui ne lui a pas plu du tout!

Une opération qui ne lui a pas plu du tout!

Dans le fond de notre jardin, il y a un grand appentis avec tout le confort possible pour des chats en quête d’un emplacement pour dormir. Un soir que nous étions assis, Michel et moi, sur un banc face à lui, nous l’avons vu descendre de son refuge. Nous n’osions pas bouger d’un cil. Il est passé fier devant nous, sans nous regarder et est entré sous l’appentis.  "Il était sauvé" .

J’avais enfin moi aussi mon bébé chat ; il faut dire que dans ces temps là, ma sœur et ma fille s’étaient retrouvées, l’une et l’autre, heureuses propriétaires de chatons et moi je les enviais.

Donc mon petit Filou est arrivé dans notre jardin. C’était un grand coureur, même bébé il cavalait partout, mais dès que je l’appelais, il arrivait, il savait que c’était l’heure de la soupe. Cependant il était très sauvage, impossible de le toucher. Début juillet, les vacances en août. Je n’avais pas un mois pour l’amadouer et le faire entrer à la maison. Tous les midis, j’allais le retrouver dans son fief, je mangeais un sandwich près de lui et je jouais avec lui avec un bout de ficelle que je raccourcissais de plus en plus. Un jour j’ai pris une brindille de bois, et nous avons joué avec et j’ai constaté qu’il se frottait à elle. Je lui ai donc caressé le dos avec la badine et là Ô ! Miracle ! Je l’ai entendu ronronner. J’ai petit à petit diminué la longueur qui nous séparait. J’ai fini par lui gratouiller le dos avec la main et enfin j’ai pu le prendre sans problème. Il s’est blotti contre ma poitrine tout heureux. Je pense que c’était ce qu’il voulait depuis longtemps mais il n’a pas voulu faire le premier pas. Il était temps, j’avais gagné mon pari.

Quand nous sommes partis, je le savais en sécurité à la maison, Patricia devant prendre le relais pendant notre absence. C’était un amour de petit chat, on ne pouvait pas trouver plus affectueux. Calypso l’a tout de suite adopté, elle qui dépérissait loin de sa maîtresse. Quant aux jeux, c’était la folie avec Bip. Je ne me souviens pas avoir connu un chat aussi câlin, il me suivait partout, il était toujours sur le radiateur de la salle d’eau à attendre son bisou après le brossage des dents. Il adorait l’odeur du dentifrice !

Notre Filou a grandi, il est devenu un superbe gros chat, et comme nous ne voulions pas qu’il s’aventure trop loin à la recherche d’éventuelle compagne, nous l’avons fait castrer. Mal nous en a pris, il nous a quittés deux semaines après. Nous lui avions fait quelque chose qui était contre sa nature. Je ne pense pas qu’il soit mort. Je crois plutôt qu’il est parti ailleurs pour oublier ce qu’on lui avait fait. Nous avons fait du porte à porte dans tout le quartier, mais « des chats gris il en traîne partout alors vous comprenez… ». J’ai maigri de quatre kilos tant j’ai été malheureuse de son départ. Il est parti une nuit alors que la chatière était ouverte. J'ai juré que plus jamais mes chats ne sortiraient la nuit, ce qui fut fait avec l’arrivée de mes deux adorables petites puces, Chipie et Dorothée.

Publié le par Yvette
Publié dans : #Poésie d'auteurs, #Abert Samain, #musique
Musique sur l'eau!

Musique sur l'eau

Oh ! Écoute la symphonie ;
Rien n'est doux comme une agonie
Dans la musique indéfinie
Qu'exhale un lointain vaporeux ;

D'une langueur la nuit s'enivre,
Et notre coeur qu'elle délivre
Du monotone effort de vivre
Se meurt d'un trépas langoureux.

Glissons entre le ciel et l'onde,
Glissons sous la lune profonde ;
Toute mon âme, loin du monde,
S'est réfugiée en tes yeux,

Et je regarde tes prunelles
Se pâmer sous les chanterelles,
Comme deux fleurs surnaturelles
Sous un rayon mélodieux.

Oh ! écoute la symphonie ;
Rien n'est doux comme l'agonie
De la lèvre à la lèvre unie
Dans la musique indéfinie...


Albert Samain

Publié le par Yvette
Publié dans : #Les mystères du chat, #préhistoire

Extrait du livre de Didier Hallépée : « Chat Mau Egyptien », Carrefour du net

bastetchatprehistoireLes premiers petits félins parcourraient nos forêts il y environ 65 millions d’années. Il y a environ 12 millions d’années sont apparus les premiers chats sauvages, notamment le felis manul et le felis martelli. Le felis martelli est probablement l’ancêtre du chat sauvage européen, felis sylvestris. Le felis martelli a disparu il y a environ 1 million d’années.

Après la première glaciation (il y a 900 000 ans) est apparu le chat sauvage européen, felis sylvestris. Il habitait les immenses forêts d’Europe. Au cours de la seconde glaciation (il y a environ 600 000 ans), l’espèce s’est répandue en Asie et en Afrique. Avec les changements climatiques, les populations félines se sont trouvées séparées et ont évolué en espèces différentes : chat sauvage d’Europe, chat sauvage Africain, chat de Chine, chat des sables, chat des marais, chat aux pieds noirs.

Ces espèces sont différentes mais partagent un pool génétique commun leur permettant de se reproduire entre eux.

J'ai trouvé cet atrticle intéressant sur le net

http://www.cime.cat/le-mau-egyptien/histoire/chat-et-prehistoire/

Publié le par Yvette
Publié dans : #chats, #Vidéos

Que ne ferait-on pas pour un brin d'herbe. Et celle-ci est appétisante à souhait!

Publié le par Yvette
Publié dans : #divers
Image du Blog zezete2.centerblog.net
Source : zezete2.centerblog.net sur centerblog.null

Sans les femmes le coeur des hommes s'arrêterait de battre et l'humanité de croître .

Grézel Christian

 

Publié le par Yvette
Publié dans : #La Loire
Photo prise à la Patache, commune de Champtoceaux qui est située en Maine et Loire. Mais c'est si poche de la frontire avec la Loire Atlantique... D'ailleurs de l'autre côté de la Loire, c'est le département de Loire Atlantique. Elle est si belle cette Loire, ne trouvez-vous pas?

Photo prise à la Patache, commune de Champtoceaux qui est située en Maine et Loire. Mais c'est si poche de la frontire avec la Loire Atlantique... D'ailleurs de l'autre côté de la Loire, c'est le département de Loire Atlantique. Elle est si belle cette Loire, ne trouvez-vous pas?

Dernier « fleuve sauvage »

Malgré plusieurs barrages et d'importantes protections latérales contre les crues (des turcies ou levées), la Loire est souvent présentée comme le « seul grand fleuve sauvage » survivant en France : elle est aussi un « royaume » de paysages somptueux et de milieux naturels très riches. Mais cette appellation, selon les archéologues nauticiens et autres historiens, est très abusive : la Loire est un fleuve « civilisé » depuis l'Antiquité, de par sa position privilégiée, avec le Rhône, dans l'isthme français entre les mondes méditerranéen et atlantique. Très tôt elle a connu des aménagements pour favoriser la navigation et protéger les populations riveraines de ses crues légendaires. La Loire a engendré une civilisation ligérienne qui lui est propre, avec ses traditions, ses savoir-faire, ses coutumes, son parler, même si aujourd'hui, avec la disparition de sa navigation, cette identité est perçue de manière moins évidente. Parler de la Loire comme d'un « fleuve vivant » serait plus approprié au regard du lit en tresse qui le caractérise et qui donne à ses paysages un air de jungle originelle.

Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Loire

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