Souvenir de ma classe de troisième
MES PASSIONS AU FIL DES JOURS
Souvenir de ma classe de troisième
C'est le mois du rose!
On voit les jardins qui se sont parés de rose eux aussi.
Il n'y a pas que sur les blogs.
C'est la vie en rose et là les hortensias vont chanter.
La pluie est enfin arrivée!
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Le printemps est bel est bien là sur ce tableau!.
Quel calme!
Cela donne envie de se poser un moment sur ce banc et regarder la nature, sentir les odeurs un brin d'herbe fraîche à la bouche, entendre les oiseaux .
Tout nos sens sont en action
Quel talent!
Serguéï TOUTOUNOV est né en 1958 à Moscou (Russie) dans une famille d'artiste-peintres. Dès sa petite enfance, sous l'égide de son père, il suit une formation régulière et systématique du dessin et de la peinture. A cette époque, à Moscou, les exigences pour la qualification professionnelle du peintre étaient de haut niveau. C'est pour cette raison que la formation y était des plus complètes. D'autre part le milieu artistique était fidèle à un héritage du siècle dernier, qui considérait que l'art passait par des sacrifices. Bien qu'une telle position soit sujet à discussion surtout du point de vue religieux, elle avait tout de même une incroyable portée motivante et dynamisante pour la formation et le travail dans les domaines de l'art. Et cela se confirmait particulièrement dans le cadre de la vie soviétique très règlementée et sans perspectives. En effet, la propre initiative ne pouvait s'accomplir qu'au moyen du perfectionnement de ses aptitudes.
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Illustration pixabay
Mes Mains
Ah ! oui mes mains, comme je vous aime.
Si je ne vous avais pas ?
Que serais-je sans vous ?
Des mains longues et fines.
Pas manucurées, non, pour quoi faire !
Ongles trop fragiles
Des mains de pianiste m’avait dit une doctoresse à l’école
Oui ? mais non !
Du piano ? très peu pour vous, ça n’a pas marché entre vous.
Mais des mains de peintre ! ah ! oui, oui, oui !
Des mains qui créent.
Des mains de bricoleuse !
Marteau, burin, perceuse, ciseau à bois etc.
Mais elles ont eu la chance de ne pas connaître de dur labeur
Des mains qui adorent caresser aussi !
Ah ! pour le plaisir, sur le pelage d’un chat.
Qui peuvent soigner en plus !
Qui peuvent faire tourner un pendule à toute vitesse
Elles ont un peu de magnétisme !
Mais nous ne savons pas faire ça elles et moi.
Elles sont mes servantes je l’avoue.
Mais elles ont été les mains de l’amour
Envers celui que j’ai aimé
Envers ma fille quand elle était bébé.
Oui les mains de l’amour avec un grand A
Mais aussi des mains
Qui ressemblent à celles de ma mère !
Le ciel est par-dessus le toit.
Le ciel est, par-dessus le toit,
Si rose, si calme !
Un arbre, par-dessus le toit,
Berce sa palme.
La cloche, dans le ciel qu'on voit,
Doucement tinte.
Un oiseau sur l'arbre qu'on voit
Chante sa plainte.
Mon Dieu, mon Dieu, la vie est là
Simple et tranquille.
Cette paisible rumeur-là
Vient de la ville.
Qu'as-tu fait, ô toi que voilà
Pleurant sans cesse,
Dis, qu'as-tu fait, toi que voilà,
De ta jeunesse ?
Pardonnez moi d'avoir changé le vers de Paul Verlaine,
mais avouez que c'était tentant!
Honte à moi , j'ai ajouté un pied.
J'ai osé!
Chaumière en Picardie
inutile de vous répéter que Corot est un de mes peintres préférés.
Et pourtant je vous le redis, j'insiste même.
Corot a été le peintre qui a motivé ma passion pour la peinture,
et je n'avais que 13 ou 14 ans.
Tout le monde a entendu parler ou a lu sa biographie, je n'en dirai pas grand chose.
Jean-Baptiste Camille Corot, né en 1796 à Paris où il est mort le 22 février 1875 peintre et graveur..
Il passa longtemps pour un peintre amateur qui avait tout loisir de voyager non seulement un peu partout en France, mais aussi en Italie, où il résida à trois reprises. Au cours de ses pérégrinations, il ne cessa de peindre des paysages idylliques, généralement étoffés de petits personnages, selon les règles du paysage classique. Connu pour sa philanthropie, il est aussi l'un des fondateurs de l'Ecole de Barbizon.
Souces Wikipédia : ici
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Que rajouter de plus?
mon blog a neuf ans!
Si je n'avais pas eu tous (tes) ces amis (ies),
il y a longtemps que j'aurais arrêté ces courriers.
En ce moments je suis très prise.
Devinez!
J'ai dans mon secteur un "arrivage " de cinq chats qui se ressemblent tous au point de mettre un numéro sur eux: Félix 1 , Félix 2 etc. et pourtant ils ont eu des maitres car deux sont castrés. La dernière arrivée, pleure à ma porte, elle veut entrer mais il y a des conflits et je ne peux plus m'en sortir.
C'est l'hiver qui m'inquiète.
Alors que faire?
Ca m'occupe beaucoup. Cinq en plus de mes trois vieux chats qui ne me quittent pas.
Les premières roses du jardin.
Un peu trop de pucerons, il a fallu lessiver!
Pauvres petites roses si fragiles et qui sont pompées par ces toutes petites bestioles.
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Jean Paul Barré : Port Lavigne (dans l'estuaire de la Loire.)
Pourquoi ai-je choisi ce tableau?
C'est simple: Je connais Jean-Paul. J'ai participé à des groupes de peinture dont il était le professeur . Et ce tableau je l'ai fait moi aussi juste à cet endroit. Je vous conseille de cliquer sur la photo pour le voir en plus grand. Et là vous pourrez voir ce que c'est que de peindre des arbres, de faire des nuages qui se reflètent dans l'eau un peu à marée basse!
Jean Paul Barré est peintre en Brière. Il y a son atelier à Crossac et tous les ans il l'ouvre de mi juillet à mi août.. Pour ceux qui seraient tentés d'aller visiter cette belle région, n'hésitez pas à aller voir son exposition, elle vaut le détour , vous en prendrez plein la vue.
Très influencé par Corot, l'École de Barbizon, les Romantiques allemands et anglais, il a parcouru les musées ( France, Grande-Bretagne, Hollande, Suisse) pour apprendre la technique des Maîtres du XIXe siècle.
Suivez ses créations : http://www.jeanpaulbarre.com/
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Je suis née à Bou-Medfa en Algérie. Mais j'étais trop petite pour me souvenir de ce petit village. Par contre celui où j'ai atterri à l'âge de quatre ans, Gouraya, lui je ne l'ai pas oublié, j'en ai même écrit un livre: "Gunugu ou les roses de Gouraya"!
La photo présente la caserne où j'ai passé mon enfance de 4 à 10 ans, les trois fenêtres de droite! Elle existe toujours mais plus en tant que gendarmerie, c'était un ancien fort!
Là-bas, c’était chez nous.
Un gentil petit village qui s’allongeait,
Tout blanc, sur la seule route nationale,
Sinueuse et escarpée, d’Oran à Alger,
Et que bordait un pittoresque littoral.
Là-bas, c’était chez nous.
Le ciel et la Méditerranée, toujours bleus,
Se confondaient sur un horizon très lointain.
Les plages des criques avaient des tons cuivreux,
Des galets, des coquillages, du goémon fin…
Là-bas, c’était chez nous.
Des grands palmiers bordaient une allée en pierraille,
(Mes genoux s’en souviennent encor(e)), descendant
Vers une petite église au charmant vitrail
Encastrée au fond d’un bordj éclatant de blanc.
Là-bas, c’était chez nous.
Et le soleil si chaud ! Un vrai soleil ! Magique !
Il avait le don de tout métamorphoser.
La langue cosmopolite à l’accent typique,
Chantant à nos oreilles d’enfants, nous plaisait.
Là-bas, c’était chez nous.
Les parfums des oranges et du mimosa
Se mélangeaient à ceux intenses des épices,
Des melons, des bécess et du miel des zlabias,
Des olives et des couronnes à l’anis.
Là-bas, c’était chez nous.
Dans les cafés maures, dominaient le koumoun,
Le felfel, d’odeurs puissantes, la loubia,
Mélangées au poisson fumant sur le canoun,
Aux vapeurs du thé à la menthe et au cawa.
Là-bas, c’était chez nous.
Dans leurs gourbis, des musulmanes caquetant,
Roulaient avec doigté le merveilleux couscous
Autour d’un tajine en bois pour le Ramadan
Et les hommes à chéchia rouge et grand burnous.
Là-bas, c’était chez nous.
Et les mots ! Les noms des villages!
La mouna ! Les makrodes ! La caca d’chat !
Les plaquemines écarlates ! La kémia ! La harissa !
Gouraya ! Cherchell ! Lafayette ! Bou-Medfa !
Et s’affolent et s’envolent les vers et les rimes …
Là-bas ! LA-BAS …
Et encore maintenant c’est toujours chez nous ;
Et si vous y passez, alors racontez-nous.
Yvette
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Le jardin virtuel, les défis de la plume d'Evy
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Mon livre sur Gouraya.
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