Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
BEJAR PASSION

BEJAR PASSION

MES PASSIONS AU FIL DES JOURS

Publié le par Yvette

Image: refugedemesmots

Très fatiguée et essoufflée  et pas de cardiologue disponible, alors j'attends au calme. J'ai pourtant fait récemment un infarctus, il y a sans doute d'autres priorités!

Publié le par Yvette
Publié dans : #Défi Ghislaine, #saisons, #Plaisir des mots

Notre amie Ghislaine nous propose pour son défi 122

soit 8 mots

Fort, ciel, heure, massive, hier, bon , voie, éclairée

soit le thème,""Saisons""  

 

Nos quatre saisons chez Ghislaine défi  122

Il n’y aurait plus de saisons me dites-vous ?

Moi je vous répondrai qu’elles sont désorientées,

Certaines un peu dérangées, d’autres beaucoup

Mais elles demeurent. Un peu déboussolées !

L’automne glorieux me paraît assez fidèle,

Suivi d’un hiver singulier, court et peu froid,

Aux prairies humides, sous de très profonds ciels,

Et aux aurores rouges derrière les sous-bois.

Le printemps précoce se hâte avec douceur.

Vient une profusion massive de couleurs

Envahissant un été hâtif et brûlant,

Rendant la terre desséchée et craquelée.

Les ruisseaux silencieux, secs et fort désolants,

Ne charrient plus les lourdes branches emmêlées !

Juillet, août, autarcie imposée, comme hier,

Car la canicule obligeant les pauvres vieux,

Ainsi qu’à l’heure de transmission meurtrière,

A vouloir sauvegarder leur temps si précieux.

Octobre épuisé roussit la chaude feuillée,

Il fait bon enfin jouir des douces soirées,

Plus fraîches mais aussi plus écourtées.

Le soleil baisse un peu plus, confus, désolé.

Le cycle reprend son cours, et ses aléas.

Le sort en est jeté, vivre avec, il faudra !

Nos quatre saisons chez Ghislaine défi  122
Publié le par Yvette
Publié dans : #défi Lilou, #Plaisir des mots

Mot mystère 24 chez notre amie Lilousoleil 13 lettres 

   E  O O O U  B D H N P R S T 

nom masculin  : antique écriture grecque

Ce qui nous donne:

Boustrophédon

 

β Beta, oh mais non pas si bête que ça, un peu tocard c’est tout !

ω O-méga,  O-méga 3 , 6 , 9 ? Ça sent le coprah mais pas chez moi, non !

υ Upsilon, comme le Y, grec pourtant. Donc je me prénomme Uvette? Atroce !

σ Sigma, là ça me rappelle l’école, formules perdues et retrouvées.

τ Tau, je ne me souviens pas de toi, où te cachais-tu ? Outdoor ?

ρ Rhô !!! toi je t’utilise souvent quand je tchate avec mes blogs-trotteurs !

O o-micron, et ton accent circonflexe ? Il est chez ôméga? que c’est décousu !

π Pi ! fastoche ! 3,1416 pour mesurer la circonférence d’un cercle à découper.

?H Ah, toi, jamais seul, toujours accompagnant P ou T ou le K. Aucune retenue !

ε Epsilon, on te voit partout, on ne sait pas pourquoi, mais j’adhère !

δ Delta ! Mathématiques ? Non, non ! je préfère tes précipitations océanes.

ο O Ah! te revoilà? méga ou micron ? Décide-toi, because c’est bientôt la fin.

ν Nu, oh que c’est mignon ça ! C’est l’apothéose avec toi ! C’est chaud !

 

Publié le par Yvette
Publié dans : #Algérie, #Collation, #Plaisir des mots, #Défi d'Evy

 

Cette semaine notre amie Evy  nous propose  le thème du 17/05/20 au 24/05/20

C'est "  Goûters d'autrefois  "

--- Les 10 mots 

Armoire, Bocaux, Fruit, Couleur, Goût, Doucement, Évoque, Simple, Chemin, Incomparable...

Petite histoire amusante vécue et déjà racontée sous une autre forme.

Dernièrement j'ai demandé à ma sœur: si je te dis le mot "collation" , ça t'évoque quoi?

Oh! ouiiiiiiii ! tu te souviens?

Alors je vous raconte.

Quand nous sommes arrivés en France, j'avais 10 ans et ma sœur 12. Nous nous sentions vraiment dépaysées, nous étions "différentes". C'était en 1952 et non en 1962, 10 ans avant l'arrivée des rapatriés d'Algérie. Nous avions 10 ans d'avance sur eux donc on nous regardait bizarrement. Un peu des zoulous quoi !

(Il faudrait que je vous raconte un jour notre arrivée en France, digne d'un film, avec ma sœur nous en rions beaucoup).

Différentes? oui

Notre accent,

Notre façon de vivre : nous n'allions pas à la messe le dimanche, comme toutes les familles qui composaient la caserne de gendarmerie dont notre père avait le commandement.

Pas baptisées, alors encore moins fait de communion.

Et en plus nous allions à l'école communale et non catholique!

Alors... Oui vraiment différentes, c'était ainsi que nous l'avons vécu.

Et dans cette caserne il y avait un gendarme qui avait été marié et avait un petit garçon. La maman est décédée peu de temps après et ce brave homme se remaria avec sa belle-sœur, sœur de sa femme qui éleva son fils.

Description de cette dame que je nommerai Madame T. : une petite souris grise et noire, très gentille, dévote, allant jusqu'à la bigoterie. Elle allait à la messe tous les dimanches à 9h (et sans doute aux vêpres) tandis que sa voisine du dessus, elle, c'était à 11h! et tous les dimanches après-midi, nous avions droit devant nos fenêtres:

"Madame R., avez-vous écouté le sermon de monsieur le curé ce matin ?"

Et de sermon en autres parlotes on avait toutes les nouvelles du village, que notre mère nous répétait à table.

J'en arrive à ce fameux mot: collation

Nous avions aussi un langage un peu à part, notre vocabulaire était différent aussi. Et il nous fallait faire avec, remplacer nos mots par les mots d'ici, eh! oui, un peu du fameux patois de Mémé.

Chaque gendarme avait un bon lopin de terre pour y cultiver ses légumes ou fleurs. C’était très coloré mon père adorant les fleurs, de même qu’il avait toutes sortes de fruitiers, des pêchers à gros fruits au goût incomparable, un spécialiste !

Un (je maintiens le masculin pour ce mot!!) après-midi où nous prenions notre "goûter" ou notre "4 heures" comme vous voulez, dans la parcelle de notre père, dans le petit chemin , c’était plus large qu’une allée, nous vîmes arriver notre petite souris grise un peu plus loin. Et elle nous dit: "C'est la C------tion?" trop loin pour entendre sa petite voix, nous la fîmes répéter: "c'est la C-----tion?"

Nous avons fini par acquiescer. Et quand elle est partie, nous avons ri sous cape, bêtement, toutes les deux, doucement bien sûr, ne sachant pas ce qu'elle nous avait demandé. Et pas moyen de chercher donc de trouver le mot dans le dictionnaire.

 Et toutes deux de dire en nous esclaffant par la suite : "c'est encore un mot de curé! " ça ressemblait tellement à : dévotion, procession etc.

Nous n’avions pas fait le rapprochement avec le fait que nous prenions notre goûter, une tartine avec sans doute de la confiture, prise dans le bocal lui-même dans l’armoire à conserves.

Et depuis nous rions beaucoup quand nous parlons de "collation" car c'était un mot que nous ne connaissions pas et en en regardant la signification et l'origine voici ce que j'ai trouvé:

Collation: repas léger que les catholiques font les jours de jeûne pour remplacer le souper, et par extension un repas léger pris au cours  de la journée.

En fait nous n'étions pas loin de la vérité, toute simple !

 

§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§

 

Surtout ne prenez pas ombrage quand je parle de religion. Je vais vous dire que j'avais des amies algériennes,  dont une qui est venue de Gouraya chez moi en France et qui faisait ses prières plusieurs fois par jour, ça ne me dérangeait absolument pas. De plus mes parents pendant la guerre 39/45 nourrissait le pauvre curé de mon village natale, il mourrait de faim . Et j'ai eu une très bonne amie qui était témoin de Jéhova! Quant à Gouraya, le curé ne venait pas souvent. L'église existait mais notre mère n'y allait que pour les grandes cérémonies.

Cependant notre éducation a été rigoureuse, stricte, autoritaire, draconienne : mon père étant dans l'armée. Et ma mère: toujours regarder derrière soi si on ne laisse  personne dans le besoin. Aider et toujours agir sans ostentation!

Publié le par Yvette
Publié dans : #Plaisir des mots, #Mes chats d'occasion

Petite vidéo toute courte.

Fanny est une petite chatte adorable.

Elle est arrivée chez ma fille après avoir été trouvée par une collègue de travail, sur la route, accidentée.

Et bien sûr, qui a récupéré la petite bête? devinez!

Ma fille forcément!

Inutile de dire que je suis la copine , la mamie de tous les quatre pattes de la maisonnée.

Sur la vidéo, on ne voit pas très bien mais elle a ses deux pattes avant sur une pierre, c'est mieux pour ne pas se mouiller les papattes.

 

Publié le par Yvette
Publié dans : #lilousolei, #mot mystère, #Plaisir des mots

mot mystère 23, Chez Lilousoleil

E E E I  O O U U C D F Q L L R 

Un pauvre hère, un homme sans esprit.

Coquerel avait subitement la colique en cheminant,

Où pouvoir satisfaire son envie subite et pressante ?

Quelque part dans la feuillée, pas le choix !

Une fois son froque baissé accroupi dans les fleurs

Et bien installé à l’abri des regards, se laissa aller,

Fit son affaire, mais reçut une dérouillée inattendue

Roulant dans les épines notre pauvre hère peu couillu

Ecœuré de ne pouvoir finir son œuvre paisiblement.

Déféquer tranquillement dans la nature n’est plus possible.

Où qu’on soit, il y a toujours un loufoque en quête de folie !

Un farceur l’ayant suivi, notre coquefredouille sentit sa douleur !

Il sentit sa colère monter ! une douillée ne se pardonne pas !

Le pantalon relevé, après avoir utilisé une feuille verte,

Le pauvre homme ne retrouva pas le filou qui avait filé.

Ecœuré il passa son chemin, querelle n’étant pas son habitude.

 

Publié le par Yvette
Publié dans : #sentiment, #Plaisir des mots, #Mémé, #Virus

Notre amie Ghislaine nous propose

les 8 mots

Mot, idée, absente, vide,
fin, texte, infini, émotion.

Ou le thème ; "Sentiment"

 

Oh ! dame ! Yvette, elle est ben gentille, al me d’mande d’l’aider pour l’article de Ghislaine mais c’est sur les sentiments. J’ai point d’idée moi là-dessus.

J’ai été longtemps absente avec ce fichu virus, j’commence à r’ssortir mais j’fais gaffe ! J’a tellement ruminé dans ma cambuse qu’mon cerveau il est vide ! Si , si ! j’vous assure ! J’ai l’sentiment qu’j’ai pris un sacré coup d’vieux ! Quand que j’me suis argadée dans la glace à matin, l’émotion m’a submergée comme on dit quand qu’on cause ben. Pas d’mots pour dire comment que j’étais : grise, ridée, (ben oui encore plus qu’avant quoi !). J’ai même ben cru que j’l’avais gobé ce virus comme justement j’toussotais !!

Mes pov’z’enfants on est ben mal gaulés avec tout ça ! Faut pas argader dans la télé, sinon, c’est sûr on est mort. Y en a qui disent : déconfinement et pis après c’est la fin de toute cette comédie si tout l’monde fait attention.

Y en a d’autres qui passent un temps infini à nous prouver qu’le virus, l’est point près d’partir. Avec des textes et des tableaux, des graphiques qu’on a même pas l’temps d’lire. Déjà que j’comprends rin d’avance.

Mais c’est qu’faut faire gaffe, moi j’dis, qu’il va ben r’venir comme la grippe tous les ans. Et vous zavez-t-y vu la grosseur des s’ringues pour le vaccin? si qu’ils arrivent à en trouver un ? Mais c’est qu’ça fait peur, moi j’ai pu qu’la peau et les os !

Ah ! j’vous répète qu’on est mal barrés !  Va falloir montrer patte blanche !

Salut la compagnie, à la r'voyure!

 

Publié le par Yvette
Publié dans : #Mains, #Défi d'Evy, #Plaisir des mots

Cette semaine le thème du 10/05/20 au 17/05/20

C'est "  L'émotion  "

--- Les 10 mots

Sculpte, Apprivoiser, Poids, Peu, Clair-Obscur, Chercher, Plainte, Créer, Priver, Savoir...

 

Mes Mains

Ah ! oui mes mains, comme je vous ai aimées

Comme je vous chéris encore.

Si je ne vous avais pas eues ? si j’avais été privée de vous !

Qu’aurais-je été sans vous, si agiles ? Des mains longues et fines.

Pas manucurées, non, pour quoi faire ? Ongles trop fragiles.

 

Des mains de pianiste m’avait-on dit un jour !  Oui ? mais non !

Du piano ? très peu pour vous, ça n’a pas marché entre vous et lui.

Mais des mains de peintre ! Ah ! oui, oui !

Des mains qui ont peint, sans que je les éduque, des clairs-obscurs,

Des nuages brouillés, dorés ou orageux, des mers en furie,

Des arbres échevelés au bord d’étangs ou ruisseaux.

 

Des mains qui créent et qui auraient pu sculpter.

Des mains de bricoleuse ! des passionnées !

Marteau, burin, perceuse, ciseau à bois.

Des mains qui savent chérir et caresser,

Pour le plaisir, lémotion, le pelage d’un chat

Et qui savent apprivoiser, avec délicatesse ;

Qui peuvent soigner… inconsciemment !

Sachant se mettre en nid pour rassurer l’oiseau blotti et blessé

Elles ont un peu de magnétisme ! elles sont magiques.

 

Elles sont mes servantes, je l’avoue,

Ne se plaignent jamais de ce que je leur fais subir !

Bien qu’elles aient eu la chance de ne pas connaître de dur labeur.

Mais elles ont été les mains de l’amour

Oui ! les mains de l’Amour avec un grand A

Des mains semblables à celles de ma mère !

 

Enfin des mains flétries, ravinées par le poids du temps,

Mais toujours disponibles, un peu moins habiles

Prêtes à sauter sur un pinceau dès qu’elles en trouvent un,

Tremblantes mais sachant encore enfiler une aiguille !

Ce sont MES MAINS prévenantes, toujours aux aguets,

Cherchant à se mettre en avant au moindre désir !

 

Des mains qui n’ont jamais pris forme de poing levé,

Qui n’ont blessé quiconque, et qui, le jour venu

Croisées sur ma poitrine s’éteindront fidèles, avec moi.

Mes Mains!

Ravinées mais ... magiques!

Publié le par Yvette
Publié dans : #Au-gré-de-mon-jardin, #défi Ghislaine, #Plaisir des mots

 

 

Ghislaine nous propose pour son défi 120

8 mots à intégrer dans un texte ou un thème: "Changement"

Voici les mots:

"Jeter, trier, ranger, vider, abus, refuge, mépris, volonté"

 

Ah ! le changement ! Qui n’en n’a pas connu ?

Quand j’étais enfant mes parents déménageaient tous les 2 ou 3 ans, mon père étant dans la gendarmerie en Algérie pendant vingt ans.

Trier, remplir les cartons, les vider ensuite… toujours ranger et jeter pour n’avoir que peu de volume à déplacer.

Et récemment j’en ai connu un de changement qui m’a vraiment secouée,

aussi, je ne vais pas parler de ça, je ferais pleurer dans les chaumières.

Je vais plutôt vous parler de mon nouveau jardin, c’est plus frais, plus beau, plus charmant.

Charmant, oui quand tout est fini mais…

quand nous avons acheté ce terrain dans l’espoir d’y voir un jour une maison pour notre retraite,

il nous a fallu beaucoup de patience, de courage, d’esprit d’équipe à deux et de volonté !

Et tout ceci au mépris de nos jours de congés. Mais nous avions le même objectif.

Ce que nous ne savions pas c’est que quand, enfin les fondations de la maison furent creusées, une surprise nous attendait.

La terre était épaisse, lourde avec des plaques de roche friable mélangées à de la glaise.

Il pleuvait et l’eau stagnait. Bref une terre où il ne poussait que des coquelicots très maigres.

Et par la suite, mon père très bon jardinier, nous a greffé des arbres fruitiers qui sont tous morts, malgré les bons soins qu’on leur apportait.

Il ne poussait que des arbres sauvages en plus des noisetiers, châtaigniers, néfliers.

Alors nous nous sommes contentés de notre vieux chêne et de choisir des arbres en forêt et qui ma foi sont du plus bel effet.

Terrain humide bordé d’un ruisseau débordant après les pluies, nous avons fini par faire creuser un plan d’eau.

Notre fille a hérité de cette maison, ma santé ne me permettant plus de m’éloigner des hôpitaux de la ville.

Le temps a passé. Seule depuis quatre ans, je suis venue rejoindre ma fille et son grand terrain.

 J’ai eu droit à mon petit lopin de terre pour y mettre des fleurs.

Mais la terre n’avait pas changé. Toujours aussi mauvaise. Il fallait faire avec.

Cependant elle m’attendait cette terre, elle savait ce qu’elle allait avoir à m’offrir.

Elle savait que ce terrain c’était un de mes rêves d’enfant, avoir un grand espace avec des arbres et des animaux.

Chats et chiens.

Et quelle ne fut ma surprise en constatant que les boutures d’hortensia que j’avais faites sont plus belles en terre qu’en pot?

Que mon fuschia se sent bien de même que mon rhododendron et mon azalée.

Mon azalée qui s'étale

Mes boutures de rosiers ont pris de l’ampleur et les boutons commencent à paraître.

L’acanthe et ses magnifiques hampes fleuries en forme d’épis se plaît si bien qu’elle a envahi une bonne partie d’une plate-bande,

il a fallu sévir et tailler drastiquement mais en laisser suffisamment pour cacher les chats quand il fait soleil.

Les escargots eux, n’hésitant pas à se servir des feuilles comme refuge et avec abus.

Si bien que les belles ombrelles étaient toutes percées.

Je craignais pour mes bourgeons de rosiers tout proches.

Alors tous les jours je prends des photos quand il ne pleut pas comme aujourd’hui.

Pas besoin d’arroser.

Ainsi vous voyez, j’ai totalement changé de vie à soixante dix huit ans et c’est là que je me suis rendue compte que j’avais la main verte.

C’est fou les boutures que j’ai faites et qui ont réussi ! surtout à partir de rosiers de mon beau-père, qui étaient très vieux et que je continue à faire vivre et nous embaumer, plus de cinquante ans après !

 

"Changement" chez Ghislaine, défis d'écriture n° 120

Ce n'est pas "la rose rouge de monsieur Beaucaire" mais "la rose rouge de mon beau-père !"

Elle était encore en pot, bouture faite en Août 2019, fleurie le 4 avril 2020. La branche du pied père était tombée et il ne fleurissait plus. Beau sauvetage, non?

Publié le par Yvette
Publié dans : #Défi d'Evy, #Liberté, #Plaisir des mots

 Les 10 Mots+ le thème Liberté

Scène, revenir, agir, libre, monde, vie

réaliser, question, espérer, valeur.

 

Dans quel monde déséquilibré vivons-nous ?

Quel acte jouons-nous sur cette scène ?

C’est notre vie dont il est question ?

Personne n’arrive à comprendre, à réaliser !

Il nous faut agir et vite si nous ne voulons périr !

Revenir en arrière ? pour combien de temps !

Retrouver notre liberté si chèrement gagnée !

Nous ne pouvons qu’espérer, pour nos enfants,

Qu’ils retrouvent des valeurs saines et sûres !

Image messagesceleste

L’oiseau est libre dit-on !

Oui ? sûr ?

Ceux de mon jardin sont heureux.

Mais … Et ceux qui sont en cage ?

En cage ?

Oui, enfermés derrière des barreaux !

Mais ils chantent, ils sont heureux !

Ah ! Oui ? tu penses ça ?

Pense à celui qui est enfermé

En cage, en prison, en pension,

Les captifs, les aliénés, les vieux !

Les vieux ? Moi, je suis vieux et libre !

Toi ! Oui !

Mais penses à ceux qui n’ont plus personne.

Enfermés, sachant qu’ils ne ressortiront plus,

De cet endroit où on les a parqués !

Oui, les oiseaux de ton jardin sont heureux !

CAR ILS SONT LIBRES !

Bienvenue sur mon blog

 

 

Nombre de visiteurs depuis le 04 04 2008

399 070


 

 
 
La liste de mes amis blogueurs est trop longue pour être mise sur cette page. Si vous voulez la consulter, allez ci-dessous, dans Activité du Blog et vous les trouverez.

 

Articles récents

Archives

Merci à Vous!

 

Merci de votre visite.
N'hésitez pas à revenir,
la porte est ouverte
de jour comme de nuit...
Les poèmes signés Béjar ou Yvette
sont ma propriété et je vous demande de ne pas me les "emprunter" sans mon autorisation.
Merci à vous et à bientôt

Mon livre sur Gouraya.

 


 

 
 

Hébergé par Overblog