Il faut reconnaître que suite à son mouvement d’humeur quand les chasseurs ont voulu passer dans son chemin ( ici chez lady Marianne), les quatre bonshommes sont partis en déroute, mais sans cesser de se moquer de notre Mémé. Il y en a un pourtant, beau Monsieur qui avait un regard enjôleur et qui a essayé d’avoir quelques faveurs, à savoir : juste aller au bout du chemin et revenir par un autre. Que Nenni, notre Mémé les lèvres pincées, les a refloués. Non ! c’était non.
Elle est rentrée chez elle et allait appeler sa copine pour lui raconter. Elle était certaine qu’elle allait bien rire. Elle était soulagée, ça lui faisait uneépine de moins dans le pied. Ensuite une pleine tasse de verveine, pour se remettre de ses émotions, il ne faisait point chaud dame , au bout du chemin, dès à matin, elle avait pourtant son châle de laine. Et après ça, on n’en reparlera plus.
Alors là, Ghislaine ton sujet ne pouvait pas mieux tomber ! Que je raconte !
Voilà! il y a environ deux semaines, je me suis rendue compte que mon Mitou, mon gros, gros chat Mitou bien doduet toutdoux, n’arrêtait pas de se gratter, sur tout le corps. Au point que du fait qu’il est très gros et pas à l’aise, je le grattais et il se laissait faire. Tout le corps y passait et le pire il se cachait ! plusieurs fois je l’ai cherché dans le jardin alors qu’il était caché derrière un meuble. Et le corps parcouru de frissons. Comme les oreilles y passaient aussi, j’ai pensé à de la gale, mais non, oreilles très propres. Et puis les aoutats : comme son ventre est blanc et rose, tout était très beau et propre, pas de piqûre. Et le comble, il ne voulait plus sortir, il avait peur. Mais peur de qui ? de quoi ? son ennemi juré Arthur, étant lui-même en mauvaise forme avec de la gale dans les oreilles, et pas vif. Mitou se fait dominerpar lui. Alors besoindeconseils : pharmacie ! produits anti-puces, tiques et aoutats. Mais rien n’y faisait. Je l’ai frictionné avec toutes sortes de lotions calmantes, impossible de le soulager. Et sur le dos, du fait qu’il est noir je ne voyais absolument rien. Comment traiter quelque chose qui m’était inconnue. J’ai fini par me dire qu’il lui était arrivé une avarie dans le jardin puisqu’il ne voulait plus sortir. Et cette avarie : une bestiole, genre taon, a dû le piquer sur le dos à un endroit qu’il ne pouvait pas ou peu atteindre, au point de se mordre les pattes ; il a dû faire une allergiesuite à cette piqûre.Alors je lui ai donné des granules homéopathiques de Passiflora et au moins il était calmé. Maintenant il va mieux, il sort en toute discrétion, remonte du jardin à toute vitesse et ça suffit pour la journée. Il lui arrive encore de se gratter mais ça va mieux. Ça ne l’empêchait pas de manger comme un ogre et de venir se coucher sur mes genoux, même il me recherchait, pensant que j’allais réussir à le guérir. Pas de véto, il est tellement fou dans le panier qu’il roule dans la voiture, enfermé.
Et voilà mon histoire vraie ! Ça fait deux semaines qu’il ne sort pas, même pas avec moi, il me regarde, c’est tout ! Pauvre gros Mitou! C'est quand même en bonne voie!
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