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BEJAR PASSION

BEJAR PASSION

MES PASSIONS AU FIL DES JOURS

Articles avec #expressions francaises catégorie

Publié le par Yvette
Publié dans : #Plaisir des mots, #Expressions françaises

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De mots et d'images

Vérités.

J'ai des soucis avec mon blog, je ne peux pas envoyer mes articles, j'attends une réponse.

Là c'est un article que j'avais enregistré et conservé, j'espère qu'il va partir.

En 8 ans 1/2 c'est bien la première fois que ce genre d'incident m'arrive!

 

En nous attachant à des détails de peu d'importance, nous finissons par négliger les qualitées essentielles.

Edgar Poe

 

Il suffit d'un rien pour détruire; il faut des années d'efforts, de labeur, de patience pour créer.

Ch. Mauras

Publié le par Yvette
Publié dans : #Expressions françaises
Photo dreams time

Photo dreams time

Retarder une décision inévitable. Autre sens possible : prendre du recul pour rendre possible une décision.

Cette expression est issue d'une métaphore sportive ancienne. On a d'abord employé "reculer pour le plus loin saillir" au XIIIe siècle puis "reculer pour mieux saillir" à partir du XVe siècle.

Source: Lintern@aute

Je ne sais pas pour vous mais moi j'emploie souvent cette expression surtout dans le sens de retarder une décision inévitable. J'aime bien l'origine donnée par lintern@aute

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de mots et d'images

Publié le par Yvette
Publié dans : #Expressions françaises, #de mots et d'images, #escampette
Prendre la poudre d'escampette!

Courage , fuyons!

Dans mon dictionnaire sur les expressions voici ce qui est dit::

Origine

Ah, voilà qui est intéressant !
Donc, il suffirait de cueillir deux ou trois escampettes bien mûres, de les laisser sécher à coeur avant de les réduire en poudre, puis de mélanger cette dernière avec un peu de bave de crapaud et de fiente de cormoran, pour obtenir une mixture capable de permettre à un fuyard de courir bien plus vite ?
Ah mais, que nenni !
D'abord, comme les escampettiers n'existent pas sous nos latitudes (ni ailleurs, me dit-on en régie), on aurait bien du mal. Et, de nos jours, la fiente de cormoran n'est plus ce qu'elle était, ma bonne dame !
Ce qui prouve incontestablement qu'il faut chercher dans une autre direction.

C'est donc en allant plutôt par ici, à peu près vers le nord-nord-est (mais on peut aussi aller par là, si on préfére) qu'on découvre que l'escampette est un diminutif de 'escampe' qui, au XVIe siècle, désignait la fuite, mot lui-même issu du verbe du XIVe 'escamper' qui voulait dire 'fuir' (mais qui était considéré comme un mot vulgaire).
De nos jours, le mot 'escampette' n'est plus utilisé que dans cette locution qui date du XVIIe siècle.

Quant à la poudre, on ne sait pas vraiment s'il s'agit de celle qui, en explosant, provoque la fuite, ou plus probablement de la poussière du chemin que soulève le fuyard en courant.

 

Et voilà mes amis, pour ceux qui ne savaient pas et j'en fait partie!

 

 

 

 

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De mots et d'images

Publié le par Yvette
Publié dans : #Plaisir des mots, #Expressions françaises
Pas piqué des hannetons!

Je suis toujours dans ces expressions que nous utilisons couramment sans trop savoir d'où elles viennent. J'aime bien aller me renseigner et il faut bien le reconnaître nous avons tout ce qu'il faut maintenant pour enrichir notre savoir!


Cette expression date du 20e siècle, mais elle est dérivée d'une autre, qui elle est apparue au 17e siècle. À l'origine, on disait donc "pas piqué des vers". Cela signifie : parfait, en très bon état, super, sensationnel, etc. Il faut imaginer pour cela les beaux vêtements ou meubles, qui au bout d'un moment se faisaient attaquer par les vers. À cause de cela, des traces et des petits trous apparaissait à la surface, ce qui les rendait bien moins élégants. On disait alors qu'ils étaient "piqués" par les vers. Elle fut utilisée pendant des années, avant d'acquérir une nouvelle version : celle avec les hannetons.

Le hanneton est un insecte qui s'attaque aux plantes et surtout aux champs de céréales. Il est très vorace et peut faire de gros dégâts dans les récoltes. De plus, tout ce qu'il grignote est rendu sale et impropre à la consommation. À cause de cela, les produits deviennent imparfaits ! L'expression "Pas piqué des hannetons" signifie donc qui n'a pas été attaqué par ces derniers, c'est-à-dire : un objet est en parfait état. Cette version a commencé à apparaitre au 19e siècle, mais c'est au 20e qu'elle entrera dans le langage commun. Voilà donc pourquoi l'on dit "pas piqué des hannetons"... Mais également pourquoi l'on dit "pas piqué des vers" !

Source: Pourquois

 

Pas piqué des hannetons!

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de mots et d'mages

Publié le par Yvette
Publié dans : #Expressions françaises
Le bouillon de 11h !

Le bouillon cube ou cube de bouillon fut inventé dans les années 1880. Au début il s’agissait d’extrait de viande. En 1908 Julius Maggi commença sa commercialisation de bouillon dans sa forme de cube, produit déshydraté. Aujourd’hui il existe différents types de cubes qui ne contiennent pas toujours de la viande.

Origine

Au XVIIe siècle, "donner le bouillon", c'était 'empoisonner'.
Il était en effet facile, sous prétexte d'amener sa nourriture ou son bouillon du soir à quelqu'un, de lui porter une mixture qui allait le faire passer de vie à trépas.

Mais pourquoi 'de onze heures' (sous sa forme élidée en usage à l'époque) ?

Cela reste mystérieux, mais Claude Duneton en donne une explication qui semble tenir la route :
Si on admet qu'il s'agit de onze heures du soir, donc de la dernière heure de la journée (minuit marquant le début de la journée suivante), on a affaire à un jeu de mots entre la dernière heure du jour et la dernière heure de la personne condamnée.

source: Expressio

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De mots et d'images

Publié le par Yvette
Publié dans : #Plaisir des mots, #Expressions françaises
Image Zézette

Image Zézette

 

Il m'arrive souvent de dire que je me mélange les pinceaux et souvent à juste titre quand je peins, mais plus souvent quand je mélange les informations que j'ai reçues.

J'ai trouvé ici une explication à cette expression

Les maîtres flamands, à la tête desquels Jan van Eyck, développèrent et généralisèrent l’usage de la peinture à l’huile à partir du XIVe siècle. À cette époque, parmi les assistants et les apprentis embauchés dans les grands ateliers européens, certains avaient la tâche délicate de mélanger les pigments avec l’huile, et de constituer un éventail de pinceaux appropriés à l’oeuvre en cours de réalisation. On dit que ce fut l’ingéniosité du mélangeur de pinceaux d’Édouard Manet qui, après une soirée fort arrosée au printemps 1862, contribua indirectement à l’une des plus grandes révolutions de l’histoire de la peinture : l’impressionnisme.

Source: TV monde

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De mots et d'image

Publié le par Yvette
Publié dans : #Plaisir des mots, #Expressions françaises
Avoir du foin dans ses bottes.

J'ai trouvé ce mocassin sur ce blog:

Histoire de la chaussure

Origine

Autrefois, lorsque les Moon Boots® n'existaient pas encore et qu'un vent glacial balayait les champs recouverts d'un blanc linceul de givre dès potron-minet, les paysans avaient pour habitude de mettre de la paille dans leurs sabots pour avoir moins froid aux pieds ; ceux qui étaient un peu plus riches mettaient du foin, plus confortable mais plus difficile à récolter, donc plus précieux.
Au XVIIe siècle, Furetière citait déjà l'expression "il a bien mis de la paille dans ses souliers" désignant quelqu'un ayant fait fortune. Mais à cette époque, cela désignait non pas des paysans, mais des gens de l'administration qui s'en mettaient plein les poches par des moyens souvent illicites (corruption, détournement...).

Mais pourquoi ce rapprochement entre le foin dans les souliers et la richesse, bien ou mal acquise ?

Depuis très longtemps, on a coutume de dire qu'on garde son argent 'au chaud' lorsqu'on veut le mettre de côté pour (tenter de) le faire fructifier ou pour un usage ultérieur.
Il a donc un lien entre la 'chaleur' procurée par le foin et l'argent accumulé.
Et puis une botte, c'est un mot à double sens pour qui pense à la richesse : il peut désigner une 'meule' de foin (je rappelle qu'il était plus précieux que la paille), grande quantité dont dispose le paysan riche ; il rappelle aussi que celui qui a les moyens de se payer des bottes à la place de sabots est forcément plus aisé.
Sans compter qu'une botte était un endroit très souvent utilisé pour y dissimuler des petits objets importants ou précieux, parfois issus de larcins divers et qui, accumulés, pouvaient constituer un tas ou une 'meule' à la valeur importante.
C'est l'amalgame de toutes ces significations ou interprétations qui a conduit au sens de cette expression.

D'après Duneton, la version avec le verbe 'avoir' était plus utilisée pour de véritables bourgeois déjà bien assis sur une fortune solide, sans indication de provenance.

Sources: Expressio

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De mots et d'images

Publié le par Yvette
Publié dans : #Plaisir des mots, #Expressions françaises
Photo Animaloo

Photo Animaloo

Qu'il est beau cet os!

Il y a bien des années, nous avions un voisin qui était boucher. Un jour il est arrivé avec un os énorme pour notre chienne! elle n'arrivait pas à le porter, à le soulever. Il a fallu qu'on l'aide, elle n'a jamais pu en venir à bout. II a fait partie de la collection qu'elle s'était mise de côté, entre autres: des os à moelle que l'on met dans le pot au feu.

 

Signification : Rencontrer une difficulté


Origine : Née à l'aube de la Première Guerre mondiale, l'expression "tomber sur un os" a d'abord été utilisée par les militaires lorsqu'ils recevaient leur ration de nourriture. En effet, si certains soldats avaient droit à un bon morceau de viande, d'autres éprouvaient des difficultés à manger un vulgaire os avec un peu de viande autour, d'où la locution "tomber sur un os". Par la suite, cette expression s'est étendue pour toute difficulté qui se présente.

Source: notre famille.com

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De mots et d'image

Publié le par Yvette
Publié dans : #Expressions françaises

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De mots et d'images

Ca ne vaut pas un fifrelin!

Ça n'a aucune valeur.

Origine


Cette expression date du milieu du XIXe siècle et le mot 'fifrelin', apparu quelques années auparavant, est un dérivé de l'allemand 'Pfifferling' qui signifiait à la fois 'girolle' (oui, le champignon !) et "objet sans valeur" et qu'on trouvait dès le XVIe siècle dans la locution "das ist keinen Pfifferling wert" qui signifiait "cela ne vaut rien".

Chez nous, ce mot a désigné de la menue monnaie ou des petites choses, et la locution "pas un fifrelin" voulait dire "pas un sou".
Autrement dit, le fifrelin avait et a toujours à peu près la même valeur que la tripette, les nèfles ou les prunes

Compléments

On peut noter qu'à la fin du XIXe siècle, 'fifrelin' a donné 'fifre', terme péjoratif appliqué à une personne sans valeur et qu'il nous en est resté aujourd'hui le mot "sous-fifre" pour désigner un subalterne insignifiant

 

 

Source: Expressio

Publié le par Yvette
Publié dans : #Expressions françaises
L'espoir fait vivre!

Ce proverbe a un sens littéral tout à fait défendable : celui qui a de l’espoir y trouve l’énergie de vivre…

Mais il s’utilise généralement pour signifier que l’espoir ne sert en réalité qu’à continuer de vivre, ou à poursuivre un but. On l’emploie donc souvent pour pointer la naïveté de qui ne se décourage pas, alors que son but est loin d’être accessible, voire impossible à atteindre

Origine

On ignore quelle peut être la toute première trace de ce proverbe. Comme tant d’autres, il est vraisemblablement d’origine populaire, et donc issu d’une transmission orale difficile à dater. Mais il semble qu’il circulait dès le XIIIe siècle.

Certains affirment qu’il proviendrait en réalité d’une mauvaise lecture de François Villon (célèbre poète, par ailleurs réputé pour sa vie de mauvais garçon, 1431-v.1463) qui aurait écrit : l’eau des poires (l’eau-de-vie de poires) fait vivre !?…

En 1749, il est répertorié dans le dictionnaire de Panckoucke, éditeur ami de Diderot.

En 1842, Quitard en donne une variante plus docte : L’espérance est le viatique de la vie.

Sa version longue, L’espoir fait vivre, mais l’attente fait mourir, est sans doute ultérieure à cette date. Elle tempère l’ironie du proverbe en disant : « Mieux vaut espérer que mourir ».

Source : le site des proverbes.

Je m'accroche à ce proverbe, je suis pleine d'espoir.

Après trois semaines d'hôpital où l'on n'a plus envie d'y remettre les pieds, une maison de repos/retraite est la bienvenue depuis avant-hier. Nous attendons que  le calme revienne

Je vais hélas devoir faire la route plusieurs fois par semaine, 90km aller/retour avec de la circulation.

Bienvenue sur mon blog

 

 

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