Notre Amie Lady Marianne nous propose 12 LETTRES
nom féminin Étiquette autocollante qui s'applique sur une vitre
et qui peut être lue par transparence.
voici les lettres A A E I I U H N P R T V pas de o dans le mot
VITRAUPHANIE ! Allons ! bon, nous voilà en pleine déco ! Si je voulais, avec la véranda, j’aurais de quoi faire ! Mais comme dirait Mémé : « T’as point besoin de ça, la nature c’est ben plus beau. Et dans les villes, dès à présent tu peux plus voir à l’intérieur des magasins derrière la vitre, çaenvahitles rues. Quand j'suis passée devant la devanture de la coiffeuse «ChezAthéna », je voyais rin, j’croyais reconnaître la Pétunia, mais c’était pas sûr, avant c'était mieux. En plus, y avait du soleil, l’auvent n’avait pas été déroulé ».
Et elle a enpartie raison ! c’est presque une actionpunitivepour elle si curieuse, çalaprivede bien des potins. (Marianneaurait pris VITROPHANIE avec un O mon « potin » il passait !!! Elle joue avec nos nerfs, moi je vous le dis !)
Il m’est arrivé d’utiliser des stickers, sur mes vitres pour Noël. Et apparemment c’est le même système !
Ceci dit , je ne connaissais pas ce mot, on en apprend toujours chez notre amie Lady Marianne.
Notre Lady nous propose 12 LETTRES
nom féminin pluriel
C'est une farce, un terme littéraire utilisé pour désigner
des propos fanfarons, une attitude prétentieuse et ridicule.
voici les lettres A E O O O D D M N R S T
Notre Mémé étant partie en excursion avec les anciens du coin, je vais être seule à écrire, alors on va changer. Plus de patois mais du français ancien, cela a un peu de rapport mais c’est différent quand-même !
Rodomontades vient de Rodomonte,proprement « ronge-montagne », personnage du Roland furieux que l’Arioste avait emprunté au Roland amoureux de Boiardo. Le Rodomonte de Boiardo est un roi d’Alger, brave et belliqueux, mais altier et insolent. Ludovico Ariosto dit L'Arioste (né le 8 septembre 1474 à Reggio d'Émilie et mort le 6 juillet 1533 à Ferrare) est un poète italien de la Renaissance.
Avant d’être des noms communs rodomontade, de rodomont, tartarinades de tartarin , matamore de matamoros tueur des maures etc. ont été les noms de héros littéraires. Tous ayant à peu près le même sens : des vaniteux, des fanfarons, des fiers-à-bras.
On les voit souvent bomber le torse, et d’une voix deténoreuh ... non on dit de stentor, non ? (si mais moi ça m’arrange, la tonalité étant un peu différente !!) bref, ils haranguaient les foules, ou les soirées. Les monstresabattus ; lestornades vaincues, ils mordent à pleines dents dans des feus ardents, quitte à damner les éléments. Devant une foule n’osantrien dire ni mander quoi que ce soit, tant leur savoir-raconter est grand.
Peu à peu ces noms sont devenus dévalorisants. Un peu comme le patois régional. Mais de cela j’en parlerai un autre jour !
Notre chère Lady Marianne nous propose 16 LETTRES Ville où a été signée cette ordonnance ? en deux mots aussi appelée ordonnance Guilelmine,
c' est une ordonnance royale décrétée les 10 et 25 août 1539
par François Ier, roi de France.
Elle traite de diverses préoccupations administratives du royaume
(telles que la justice, la police ou les finances), mais la véritable innovation qu'elle
contient réside dans les articles 110 et 111 qui imposent l'usage du français dans
les actes administratifs. voici les lettres E E E I O C L L R R S S T T T V
-Oh ! dame, toi, t’as keke chose à m’demander, rin qu’à voir ta tête !
-Oui, mémé, tu as bien vu. Tu m’as bien dit que tu étais allée à l’école, hein ? mais à ton école, on parlait français ?
-Ah ! Ça, pour sûr qu’on parlait Français, tous lesécoliers parlaient Français ! !
-Alors pourquoi parles-tu en patois nantais ?
-Parce que … ça me plaît ! Avec ton pépé, on vivait avec nos vieux qui eux n’avaient jamais mis les pieds dans une classe. Savaient ni lire ni écrire ! voilà ! Savaient compter, par la force des choses ! Mais dame, pour qui donc tu poses cette question ?
-Parce que … là c’est long à dire. En classe j’ai à parler de l’ordonnance de Villers Cotterêts. Et il est question des articles 110 et 111 qui imposent l’usage du français dans les actes administratifs. Et c’est vieux, ça date de François 1er.
-Ah ! bon ? tin donc ! Jamais entendu causer d’ça ! J’ai appris à lire et à écrire EN FRANÇAIS, oui da !
J’me souviens, j’avais un sarrau (tablier, blouse) noir avec unecollerette blanche, et dame on le portait jusqu’à l’usure et ça faisait les cousins même. On mangeait sur place, on était point gros, on voyait nos côtelettes dans le dos, pour sûr ! On partait à l’aubée (tôt) en sabiots avec de la balle dedans, fallait pas bernauder (flâner) en cours de route. Les gars nous racontaient des histoires de sorcellerie, en chemin et des fois il m’arrivait de veser (pleurer), dame j’aimais point l’école ! J’étais point vrillotte (vive) étant gamine. La maîtresse, madame Eloïse Tisserétait sévère.
Moi je trouve qu’il faut point laisser tomber nout’patois dans l’oubli, c’est tout ! J’ai t’y répondu à ta d'mande ?
nous propose 13 LETTRES nom féminin peur des responsabilités
voici les lettres A E E I I O B G H H P P Y
Pusillanimité ou hypégiaphobie
J'ai choisie Pusillanimité
-Ah ! te v’là mon fille core avec ton calepin, le crayon à la bouche et les nez en l’air ! t’as pas l’air d’avoir d’inspiration !
-Oh ! non mémé ! j’ai des doutes.
-Ah bon ? mais c’est kèke donc tu as ?
-Oh ! c’est difficile à dire, j’ai peur des responsabilités. Je voudrais bien faire médecine, mais je crois que je vais plutôt faire art/déco, ce sera plus sûr, c’est mon ultime chance.
-Ah ! dame tu tiens ben d’ton grand-père. L’avait toujours peur d’aller de l’avant, si j’avais pas été là, on aurait vécu dans un taudis ! Moi j’suis du signe du taureau, je fonce tout dret d’vant moi. Lui c’était la balance : il savait jamais. C’étaitépuisant. Il s’était lié d’amitié avec not’voisin italien, une nullité, pas croyable, un peu simplet. Ilpeinaitpas beaucoup, çui-là, c’était pas un mais plein de poils dans la main. Il s’était point servi de manuelscomme toi pour apprendre. Il savait que mettre des pétunias, des tulipes, des laitues dans son jardin.
-Mais, mémé, c’est déjà ça, c’est mieux que rien !
-Pour sûr ! mais ton Pépé il perdait son temps avec lui. C’est ben simple, il avançait à rin ! C’était épuisant! Et l’autre illésinait pas sur le picrate (vin) ou lespintes de bière. Heureusement que je veillais. Ta mémé c’était une maline.(maligne). Je multipliais d’astuces. Dans ma vieille caboche, c’estillimité. J’me plantais au milieu des deux et je leur mettais un outil dans la main chacun et je disais : toi tu tailles la haie avec minutie et toi tu élagues les aulnes. Et après vous aurez de la piquette !
-Pour mieux faire passer la pilule ! Fallait ben ça ! toute peine mérite salaire disait mon vieux père !
Lady Marianne nous propose 16 LETTRES substantif féminin "immuniser contre un poison par accoutumance progressive"
voici les lettres
A A H I I I I O D M N R S T T T
Mithridatisation, histoire vécue.
Je savais bien que ce mot me disait quelque chose mais quoi ? Mystère. J’aurais dû le savoir pourtant puisque ma mère a subi une mithridatisation à l’arsenic.
Oui, je sais en homéopathie ça existe mais à des doses infinitésimales.
Je vous ai déjà dit être née en Algérie. Le paludisme ou malaria nous l’avons tous eu dans la famille. Mais ma mère a dû être plus atteinte que nous, car en regardant sur le net pour quelle maladie on pouvait administrer de l’arsenic, j’ai vu que le paludisme (malaria), la maladie du sommeil etc. pouvaient se soigner par ce procédé au début du siècle dernier.
Je me souviens seulement qu'elle nous avait dit qu’on lui administrait de l’arsenic à des doses que l’on minorait mais je ne savais pas pour quelle raison. Et les effets secondaires étaient-ils amoindris ? pas sûr ! Nous ne nous attardionspas sur le sujet étantgamins. On montraitpeu d’intérêt pour cette technique.Maintenant, je sais ! Je dirais que j’aurais pu m’en soucier avant, mais non !
Mais à l’époque, maitrisait-on facilement ce traitement ? J’ai des doutes, cela devait être dans les années 30. Mais c’était connu depuis l’Antiquité et l’arsenic a été utilisé dans le traitement d’un grand nombre de maladies. Les égyptiens absorbaient du venin de cobra en petites quantités pour s'immuniser contre d'éventuels empoisonnements.
Ainsi par hasard, avec ce mot, j’ai su pour quelle raison son médecin traitant donnait de l’arsenic à ma mère. Il était temps !
13 LETTRES gentilé de Saint-Germain-des-Prés. voici les lettres
A A E I O G M N N P R R T
Alors avec un R ou deux R ?
Qu’à cela ne tienne, on va quand même y arriver.
Alors avec 2 R ça peut nous faire GERMANOPRATIN (Germano de Germain et Pratin de prés), leparigotet laparigote !
Avec un R ça pourrait nous faire Germanopâtin avec un accent circonflexe sur le « a » venant de pâture synonyme de prés. Euh ! ... c’est un peu tiré par les cheveux je trouve. Oui, vous êtes d’accord, je le sens !
Je pars avec ça ! je ne demande rien à Lydie, on va voir ce qu’on va voir !
D’abord Germain, qui était-il ? je devrais dire qui étaient-ils ? car si on cherche un peu, ils sont terriblement nombreux ces Saints Germain. Sans compter que la Gaule fût massivement envahie par les Germains vers le 5ème siècle laréprimantfortement.
En me promenantsur le net j’ai constaté qu’il y avait plusieurs villes portant ce nom : en Dordogne, Loiret, Maine et Loire, Tarn, Ille et Vilaine et Paris (faubourg).
Alors ? Alors, je ne suis pas plus avancée, pas beaucoup d’anagrammes : j’ai beau pianoter sur mon clavier, rien ne vient ! il y a fort à parier que mes lecteurs n’imagineront pas combien j’ai travaillé pour bien peu de chose. Je ne sais même pas s’ils aimeront ma prose un peu folle.
Et voilà que soudain, notre Lady Marianne(ça y est je l’ai épinglée !! Il fallait bien ça !) nous dit qu’il y a 2 R. Tant pis pour elle, je continue. Elle va rigoler de son petit tour à nos dépends. Et comme dirait Mémé, je vais m’en tamponner le coquillard. Et ne pasergoter. En tous cas elle nous aura bien fait maronner! Marrante non ? notre Lydie ! Ce qui entraînaun cafouillage garanti parmi ses fidèles. Et beaucoup de dire : ça se paiera ! Beaucoup ramaient.Chacun rongeantson frein.
Bon ! Loin de Saint Germain des Prés tout ça. Alors, comme les histoires les plus courtes sont les meilleures (je me marre sous cape), je vais cesser là, mes élucubrations ! plutôt mes divagations.
accumulation compulsive-
fait d'accumuler de manière excessive des objets
(sans les utiliser), indépendamment de leur utilité ou de leur valeur
-Dis moi, mon fille, tu t’souviens d’un ancien voisin de tes grands-parents avec qui tu jouais des fois en cachette pendant les vacances, qu’t’étais toutegamine ? T’étais bin maligneen ce temps !
-Beuh….
-Ben si, qu’un jour il avait mis l’feu dans l’poulailler d’son grand-père !
-Ah ! oui leléonais ?
-Oui ! c’est ça, bé t’as pas d’nouvelles de lui ? Il paraît que son père maintenant il est en maison d’retraite!
-Oh ! oui oui, c’est sûr, il ne faisait que des bêtises le fils, c‘est pourquoi Grand-mère me disputait ! Et son père n'était pas net non plus.
-Son père avait fait construire une maison à côté de ses parents. Ton père un jour est allé chez lui en voisin, il pouvait pratiquement point entrer dans la maison, pas moyen tant y avait de journaux, un vrai bric-à-brac, des revues partout ,fallait faire duslalomparmi millechoses incroyables ( Un aigle et un singe empaillés , des images de Mongolie, des moellons, des vieux maillons de chaine de vélo, un ancien jerrican de gasoil, et j’en oublie !)mais tout était binalignémêmedans les angles. Et il se plaignait d’être seul, de pas avoir de copine, de pas avoir de nouvelles, que par la radio. Et ton père lui a dit, « achète une télé ». Ah ! mais c’est que j’ai pas d’place !! Et c’était vrai, pas moyen de tourner dans la maison. Pas desoleil non plus.
-Il fallait toujours qu’il cherche des noises à ses voisins, qu’il lesagonise de sottises dez’a matin !
-Il avait une femme et donc un gamin , ton copain, qui l’ont quitté quand le jeunot a eu ses 18 ans !
-Il était malade, genre schizophrénie
-Ah bon ?
- Oui mais en plus cette maladie de tout garder ça s’appelle lasyllogomanie.
n. f. Terme d'astronomie.
Art de trouver l'heure par l'ombre des astres. voici les lettres
A E I I O C G H P R S
Sciographie : pas simple d’écrire un texte avec ce mot et avec un maximum d’anagrammes.
Etymologie : scia ombre et graphie écriture.
Et là, mémé ne va m’être d’aucun secours, elle est comme moi : cuite par la chaleur, genre couleur sépia!!
Le dernier cadran solaire que j’ai vu c’était proche de chez moi à un rond-point, et vandalisé dès que remis en état. Je ne pigeraijamais pourquoi ces actes.
Il paraît que le plus ancien est en Egypte et date de 1500 ans avant JC. Il paraît aussi que ce n’est pas très précis comme technique, je le crois volontiers parce que nos deux astres ne sont pas toujours bien visibles et c’est un peu flou.
Cette science sert, ou a servi aussi pour reproduire en peinture des ombres portées sur une toile.
Dali : Ci dessus, Dali met en scène une grande ombre portée. Le Sphynx ensablé est un hymne à l’ombre.
Dans l’Egypte antique la peinture ne représente pas les ombres. Les corps sont représentés sans modelé ni volume. On y voit que le peintre égyptien ignorait ou refusait l’art de faire tourner les corps, et n’a jamais rendu les jeux de lumière et d’ombre.
Peu d’anagrammes (je ne me suis pas fatiguée : trop chaud !), mais un mot riche d’enseignement ! J’ai copié des dessins et noirci des cahiers entiers de sujets avec leur ombre et me suis efforcée d’être la plusproche de la réalité. Difficile de reproduire une ombre en pleine nature car la terre tourne et l’ombre s’allonge ou s’étale. Allez choper l’ombre d’un canard qui glisse sur l’eau ! à ne pas confondre avec son reflet.
Bon je ne vais pas aller plus loin, il y a tant à dire. Tiens ! je disais l’inverse tout au début.
Lady Marianne nous propose 14 LETTRES masculin pluriel
Il est toujours fortifié, et comporte à la fois des écuries (ou des enclos)
pour les montures et les bêtes de somme, des magasins pour les marchandises
et des chambres pour les gens de passage.
au moyen orient lieu où les caravanes de marchands font halte
Mémé met son grain de sel !
Dame, j’connais point ce mot-là moi. Mais j'vois Yvette qui commence à taper sur le clavier de sa machine à écrire, ( oui! je sais! son ordi quoi !) c’est qu’elle a dû trouver de quoi causer ; j’lui fais confiance. C’est point que j’suis curieuse mais tout d’même, j’aimerais bin savoir.
Le bordj dans mon village
Ah ! ben voilà, j’m’en doutais bin, elle est core repartie dans son pays. Elle raconte que des caravaniers elle en a vu passer dans son patelin. Là-bas on se déplaçait pluss en bourrin (à cheval !!) qu’en voiture et pour cause les routes, c’était pas le top ! Les cavaliers, y avait que ça. D’ailleurs dans la caserne où elle était avec ses parents, y avait des canassons , et son père était un cavalier émérite. Y avait des voitures aussi mais très peu et un car.
Le fortin qui servait de gendarmerie et où j'ai passé 6 années de mon enfance
Mais avec tout ça, son mot qui est long, CARAVANSERAILS, j’vois point c’que c’est dame. Elle va sûrement en dire deux mots. J’sens que p’t’être ça a un rapport avec les caravanes. J’va luilaisser l’temps d’avancer sinon elle va bin renâcleraprès moi ! L’est bin capable. Sinon je prendrai contact avec le Totor de Ghislaine, il saura, l’est plus intelligent que moi, j’verrai bin
Voilà, on y arrive. Je lis !
Alors dans son village, « y avait trois endroits qui à l’origine pouvaient servir decaravansérail. Le bordj dans le bas du village qui formait une grande place, une sorte d’enclos, où il y avait l’église, les instituteurs, le garde-champêtre, les écoles, tout le monde était regroupé là. Et en haut du village en dehors il y avait un fortin qui a fini par servir de gendarmerie. Et là vivaient tous les gendarmes autour d’une très grande cour et où il y avait l’écurie avec les chevaux », on y arrive !
« Et le jour du marché, la veille, tous les indigènes descendaient de la montagne avec leur femme et leur monture qui était parquée dans un autre enclos. Sauf qu’il y avait peu de chevaux, c’était surtout des mulets ou des bourricots !!
C’est au plus profond de mon être, jamais je n’oublierai cet endroit, c’est viscéral chez moi, et ce n’est pas à 77 ans que ça va changer.
Je n’ai pas beaucoup d’anagrammes mais vous aurez eu un autre passage de mon enfance dans un pays merveilleux. »
Lady Marianne nous propose 15 LETTRES nom féminin pluriel -
Détours de langage qui, en évitant les termes précis,
visent à masquer la pensée ou à adoucir ce que l’on veut dire.
voici les lettres
I I O O O U C C C L N N R S T
Le mot:CIRCONLOCUTIONS
Oh ! là, je ne vais pas entraîner Mémé dans ce genre de discussion. D’ailleurs elle vient de prendre le train avec sa petite robe de linon fleuri, il fait beau ; elle est invitée chez une copine à 30km de chez elle donc elle rentrera dans la soirée après soncircuit. Elle lui racontera son début d’aventure avec Totor de chez Ghislaine.
Alors grand débat :
circonlocution ou circonvolution ?
Circonlocution : le terme est lié étymologiquement à la parole : locutionetcircon: autour.
Circonvolution est considéré comme synonyme tout dépend du texte, ça envoie à ce qui entortille. Circon: autour et volver: rouler
Alors, que nous tournions dans tous les sens, que nousconcoctions de belles phrases, avec des tours et des détours, des ambiguïtés, que nouscontrôlions avec sévérité, il nous faudra bien choisir le bon terme, et pas les deux à la fois, ça se conçoit, afin que nous ne ruinions pas les vocables de notre belle langue !
Nousconclurons donc sans que nous croulions sous des tas de discours :
n’en faisons pas untournois, ce n’est pas un concours!
La solution : choisissons celui qui sonne le mieux à notre oreille.
Lamartine lui-même pouvait évoquer:
« de longues circonvolutions de paroles ».
Alors !
Alors, moi je dis qu’il a tout remis à l’endroit en une seule petite phrase.
La liste de mes amis blogueurs est trop longue pour être mise sur cette page. Si vous voulez la consulter, allez ci-dessous, dans Activité du Blog et vous les trouverez.
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