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BEJAR PASSION

BEJAR PASSION

MES PASSIONS AU FIL DES JOURS

Publié le par Yvette
Publié dans : #moineaux, #becquée, #Animaux

Ne pouvant pas filmer mes moineaux devant notre porte vitrée, j'en ai trouvé une sur You-tube.

Depuis quelques jours, nous entendions vraiment beaucoup piailler dans nos arbustes devant la maison: le camélia, le houx, le cotonéaster le forsythia. Les parents se déplaçaient pour donner la becquée sur les branches mais maintenant les loupiots descendent et picorent, mais comme ça ne va pas assez vite, les parents sont là et les aident.

 Une scène absolument magnifique. Ma moinette handicapée, celle qui a une patte très grosse et est en fin de compte un peu bancale, nourrissait deux petiots. Que voulez-vous? moi je je fonds devant ce genre de scène, j'en ai les larmes aux yeux de bonheur.

Ce qui n'empêche que je fais pareil avec Piillou ma merlette monopatte, je lui donne moi aussi la becquée. Plus la douche et elle finit par plonger sa tête dans son bol d'eau, je ne dois pas savoir faire!!

Publié le par Yvette
Publié dans : #chats, #Poésie d'auteurs

  Image2-copie-1

Les chats ressemblent aux Dieux,
Car il aiment les caresses et n’en rendent pas ;
Il y a en eux je ne sais quoi de céleste et de mystérieux,
Ils voient la nuit comme le jour,
Et leurs yeux clairs semblent le reflet des astres.
(H. Cammas et Lefèvre)

Publié le par Yvette
Publié dans : #bucolique, #jardins nature

Article édité dans la communauté: "jardins nature"

à cette adresse:

J'ai descendu dans mon jardin. (bis)
Pour y cueillir du romarin.
Gentil coqu'licot, Mesdames, gentil coqu'licot nouveau.

Pour y cueillir du romarin. (bis)
J'n'en n'avais pas cueilli trois brins,
Gentil coqu'licot, Mesdames, gentil coqu'licot nouveau.

J'n'en n'avais pas cueilli trois brins, (bis)
Qu'un rossignol vint sur ma main.
Gentil coqu'licot, Mesdames, gentil coqu'licot nouveau.

Qu'un rossignol vint sur ma main. (bis)
Il me dit trois mots en latin.
Gentil coqu'licot, Mesdames, gentil coqu'licot nouveau.

Il me dit trois mots en latin. (bis)
Que les hommes ils n'valent rien.
Gentil coqu'licot, Mesdames, gentil coqu'licot nouveau.

Que les hommes ils n'valent rien. (bis)
Et les garçons encor' bien moins !
Gentil coqu'licot, Mesdames, gentil coqu'licot nouveau.

Et les garçons encor' bien moins ! (bis)
Des dames il ne me dit rien.
Gentil coqu'licot, Mesdames, gentil coqu'licot nouveau.

Des dames il ne me dit rien. (bis)
Des d'moisell' beaucoup de bien.
Gentil coqu'licot, Mesdames, gentil coqu'licot nouveau.
 

Publié le par Yvette
Publié dans : #François Millet, #Peintres célèbres

Article édité dans la communauté Baz'Art.

~~Pour en savoir plus sur Millet: Wikipédia ici: http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Fran%C3%A7ois_Millet

Les meules J F Millet

Comme nos campagnes ont changé!

Maintenant c'est recouvert de plastic vert ou bleu,

qui n'est pas du plus bel effet.

Publié le par Yvette
Publié dans : #Poirier, #bucolique, #jardins nature

Pour la communauté: jardin nature

Le vieux arbre et le jardinier.

Une légende que m'a racontée mon ami Nouri .

Et comme vous connaissez ma passion pour les arbres,

ne jamais les couper!

les tailler, oui mais ne pas les détruire.

 

 

Le vieux arbre et le jardinier


Un jardinier, dans son jardin,
avoit un vieux arbre stérile ;
c’étoit un grand poirier qui jadis fut fertile :
mais il avoit vieilli, tel est notre destin.

Le jardinier ingrat veut l’abattre un matin ;
le voilà qui prend sa cognée.
Au premier coup l’arbre lui dit :
respecte mon grand âge, et souviens-toi du fruit
que je t’ai donné chaque année.

La mort va me saisir, je n’ai plus qu’ un instant,
n’assassine pas un mourant
qui fut ton bienfaiteur.

Je te coupe avec peine,
répond le jardinier ; mais j’ai besoin de bois.

Alors, gazouillant à la fois,
de rossignols une centaine s’écrie :

épargne-le, nous n’avons plus que lui :
lorsque ta femme vient s’asseoir sous son ombrage,
nous la réjouissons par notre doux ramage ;
elle est seule souvent, nous charmons son ennui.

Le jardinier les chasse et rit de leur requête ;
il frappe un second coup.

D’abeilles un essaim sort aussitôt du tronc,

en lui disant : arrête,
écoute-nous, homme inhumain :
si tu nous laisses cet asyle,
chaque jour nous te donnerons
un miel délicieux dont tu peux à la ville
porter et vendre les rayons :
cela te touche-t-il ?

J’ en pleure de tendresse,
répond l’avare jardinier :
eh ! Que ne dois-je pas à ce pauvre poirier
qui m’a nourri dans sa jeunesse ?

Ma femme quelquefois vient ouir ces oiseaux ;
c’en est assez pour moi : qu’ils chantent en repos.
Et vous, qui daignerez augmenter mon aisance,
je veux pour vous de fleurs semer tout ce canton.

Cela dit, il s’en va, sûr de sa récompense,
et laisse vivre le vieux tronc.

 

Pour la communauté Jardin Nature

Publié le par Yvette
Publié dans : #Poésie d'auteurs, #de mots et d'images

Article sur communauté:de mots et d'images

Le ciel est par-dessus le toit...

Le ciel est, par-dessus le toit...

Le ciel est, par-dessus le toit,
     Si bleu, si calme !
Un arbre, par-dessus le toit,
     Berce sa palme.
        
La cloche, dans le ciel qu'on voit,
     Doucement tinte.
Un oiseau sur l'arbre qu'on voit
     Chante sa plainte.
        
Mon Dieu, mon Dieu, la vie est là,
     Simple et tranquille.
Cette paisible rumeur-là
     Vient de la ville.
        
--Qu'as-tu fait, ô toi que voilà
     Pleurant sans cesse,
Dis, qu'as-tu fait, toi que voilà,
     De ta jeunesse ?

Paul VERLAINE, Sagesse (1881)

 

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