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BEJAR PASSION

BEJAR PASSION

MES PASSIONS AU FIL DES JOURS

Publié le par Yvette
Publié dans : #Gouraya algérie, #Oued
Mon Oued quand il avait de l'eau en dehors des périodes de sécheresse! Photo empruntée à Iyourayen... Gouraya tipaza

Mon Oued quand il avait de l'eau en dehors des périodes de sécheresse! Photo empruntée à Iyourayen... Gouraya tipaza

J'ai écrit ce poème en souvenir de tout ce que notre mère nous racontait

au sujet des oueds en Algérie.

Cet oued est resté dans ma mémoire tout comme la mer dans laquelle il se jetait.

 

L’oued

 

Dans son lit asséché, tapissé de galets,

Spectre famélique dans la moiteur du jour,

Il dort indifférent du fracas des mulets

Martelant sa carcasse endurcie, de bruits sourds.

 

Les longues hampes des roseaux, d’eau assoiffés

S’inclinent vers ce corps sans vie et décharné,

En quête d’un précieux et salvateur nymphée,

Où l’eau s’écoulerait en multiples traînées.

 

Les lauriers roses guettent les nuages gris

Assombrissant le ciel au-dessus des montagnes.

La nature se prépare à une incurie

Terrassant la sérénité de la campagne.

 

Un roulement lointain, feutré, s’intensifiant,

Progressivement, comme pour nous prévenir

De ce qu’il va oser faire, de terrifiant,

Approche, insidieusement et sans coup férir.

 

Le lavis du ciel fonce en un noir absolu ;

L’obscurité étrange se fait menaçante ;

Un éclair annonce la pluie tant attendue ;

Wadi va réveiller cette terre insouciante.

 

Dévalant des flancs de la montagne au galop,

Se grossissant, et exacerbant  sa fureur,

Il arrache et roule dans le brocart de ses eaux,

Toute vie pour le plaisir de son créateur.

 

Yvette

 

Publié le par Yvette
Publié dans : #Mes chats d'occasion
La "faim" justifie...

La "faim" justifie les moyens.

Pour atteindre un but, tous les moyens sont bons, même les moins louables.

La "faim" justifie...
Publié le par Yvette
Publié dans : #Tag
Sissou le chaminaute de Piou-piou

Sissou le chaminaute de Piou-piou

Cela faisait un sacré bout de temps qu'il n'y avait plus de tags et aujourd'hui ça y est ça revient. Un gentil tag ! Alors je vais répondre gentiment à Piou-Piou, il est trop mignon.

Voilà Voilà!

Date d'ouverture sur Over-blog et toujours fidèle: 04/04/2008 Eh! oui ça fait plus de 5 ans

Nombre d'articles publiés: 2 278

Nombres de visiteurs uniques: 219 497 mais au compteur: 224 947

Nombre d'abonnés à ma newsletter: 57 J'en ai perdu avec la nouvelle version OB mais j'en ai retrouvé d'autres à la place. Alors de quoi me plaindrais-je?

Nombre de commentaires: 31 600 Merci Merci Merci à mes visiteurs!

Alors maintenant il s'agit de trouver des bonnes âmes qui vont bien vouloir répondre à ce questionnaire et le faire paraître sur leur blog.

Je ne cite pas de noms car mes chaminautes sont nombreux. Ils se reconnaîtront et agiront s'ils le veulent. Ce tag ne demande pas beaucoup de réflexion, il est facile à faire.  Soyez nombreux!

Bisous Piou-Piou et à bientôt. Je te mets une photo de ton copain.

Publié le par Yvette
Publié dans : #Soupe
N'est-elle pas belle cette citrouile? source: Renders-graphique.fr

N'est-elle pas belle cette citrouile? source: Renders-graphique.fr

Quand ma mère faisait de la soupe à la citrouille, oh! que nous n'aimions pas ça. Moi surtout: je n'aimais pas le lait. Comme notre père adorait cela, et qu'il n'était pas toujours à l'heure à table, nous mettions un peu de soupe dans le fond de l'assiette et la faisions tourner, de façon que des restes apparaissent sur la surface. Et le tour était joué!

Quand je pense que tous les hivers je mets du potiron dans mes soupes!!!

Les « courges », au sens large, désignent tous ces légumes (botaniquement, ce sont des fruits) de la famille des Cucurbitacées, que l’on récolte en automne, et dont l’écorce est la plupart du temps jaune, orange ou rouge brique, ou, plus rarement, grise ou verte. Elles sont originaires des régions tropicales d’Amérique du Sud, et ont été introduites en Europe au XVe siècle, où elles ont vite été adoptées. Elles ont longtemps constitué une source alimentaire importante durant les longs mois d’hiver, tant pour les hommes que pour le bétail, et leur écorce rigide, une fois évidée, servait de récipient ou d’ustensile de cuisine (gourdes, bols, louches, bassines…) : les courges étaient ainsi très cultivées dans les potagers familiaux. Aujourd’hui encore, la culture des potirons, courges et citrouilles occupe des surfaces non négligeables, notamment dans le Sud de la France Source.

 

Publié le par Yvette
Publié dans : #Mes chats d'occasion
                     Sissou au repos!

Sissou au repos!

"Il circule comme il lui plaît, visite son domaine à son gré, peut se coucher dans tous les lits, tout voir et tout entendre, connaître tous les secrets, toutes les habitudes ou toutes les hontes de la maison. Il est chez lui partout, pouvant entrer partout, l'animal qui passe sans bruit, le silencieux rôdeur, le promener nocturne des murs creux."

Guy de Maupassant 1850-1893.

 

Tout à fait d'accord avec Maupassant. D'ailleurs, ces voyous ne sont-ils pas nos propiétaires? nous logeons chez eux, les nourrissons en plus...

Regardez-le celui-ci! Il fait croire qu'il travaille, le crayon sous son ventre et les télécommandes derrière lui. Il pionce comme un bien-heureux!

Publié le par Yvette
Publié dans : #Gouraya algérie, #crique
 Gouraya, (Algérie) plage de la Crique.

Gouraya, (Algérie) plage de la Crique.

Encore une belle photo de ma plage préférée. Plage de sable gris.

Photo empruntée à Iyourayen ...Gouraya Tipaza sur Face book.

Publié le par Yvette
Publié dans : #Mes chats d'occasion

L'histoire de Mimitte est longue mais elle méritait d'être racontée. Lisez tout et vous comprendrez pourquoi.

Mimitte : la parisienne!

Mimitte: la Parisienne 

Nom d’origine : Marie-Jeanne.

 

Surnoms : la Parisienne, la grande bâilleuse, chaîne Gaz service.

Elle avait été surnommée la Parisienne par ma belle-mère, car elle avait pris l’avion à Paris pour venir chez nous.

Mimitte, le phénomène. Elle était très grande, rousse, tricolore, écaille de tortue à poils courts.

Mimitte est arrivée dans notre maison par la voie des airs. En 1984, je suis partie en déplacement pour deux mois dans l’usine que l’entreprise qui m’employait, possédait à Compiègne. Il y avait un bungalow à l’extérieur de l’usine où tous les stagiaires étaient regroupés. Tous les jours je voyais cette chatte qui, évidemment, me barrait le passage, pour quémander une caresse. Je ne voulais pas qu’une amitié commence entre nous deux. Je m’efforçais de ne pas la voir. C’était difficile. J’avais appris qu’il y avait beaucoup de chats vagabonds dans le secteur. Celle-ci était nourrie par les employés de la maintenance. Pour son bien, comme pour le mien, il ne fallait pas que l’on s’attache l’une à l’autre, je n’étais que de passage. Après tout, elle vivait bien avant sans moi, elle était à l’abri et était nourrie. Mon stage fini, je suis partie.

Deux semaines plus tard, il a fallu que je retourne là-bas pour deux jours. Et j’ai revu ma petite bête, mais dans quel état ! Des peintres d’une entreprise extérieure s’étaient amusés à lui peindre en blanc le ventre et tout le tour du corps ainsi que le bout de la queue. Elle s’était léchée, mais ses poils  étaient tout collés et blanc sale. J’étais révoltée. Que faire ? Je n’étais pas venue pour elle mais pour mon travail. Je n’avais pas la tête à ce que je faisais. Les employées du bureau du service du personnel se sont mobilisées et ont téléphoné à l’aéroport de Roissy pour connaître les conditions de voyage d’un chat en avion. Le midi je ne suis pas allée déjeuner. Un employé m’a gentiment conduite dans une galerie où j’ai fait l’achat d’un beau petit panier en osier, genre sac à main - je n’ai pas lésiné sur la dépense - puis dans une pharmacie on m’a vendu des comprimés de Décontractil. Quand je suis arrivée sur mon lieu de travail, on m’appelait au haut-parleur, je devais aller rapidement en réunion avec la direction. Heureusement ma petite bête était en lieu sûr et elle comptait sur moi. (Voir la suite plus bas)

Mimitte et Bip

Mimitte et Bip

Mais pour aller de Compiègne à l’aéroport, il y avait trois quarts d’heure de route. Je devais faire le voyage de retour avec trois collègues de travail (hommes). Inutile de dire ce que j’ai entendu tout le long du chemin. De plus la chatte ne voulait pas rester dans son panier, elle était plus tranquille sur mes genoux. J’étais inquiète en pensant au trajet en avion. Comment allait-elle réagir ? Je ne me souciais même pas de mon apparence extérieure, je ne m’étais même pas remaquillée, toute mon attention allait vers cette pauvre chatte. Arrivée à l’aéroport, je me suis installée dans le hall d’attente avec la chatte sur les genoux en dehors du panier (et toujours avec sa peinture sur le dos, au grand étonnement des autres voyageurs). Le moment du départ arrivait. Elle n’était pas d’accord pour rester dans le panier. La condition était : d’accord pour un chat dans l’avion mais avec son maître et impérativement dans son panier. Trois quarts d’heure de vol ! Elle ne miaulait pas mais gigotait dans le panier. Je n’ai pas résisté, je l’ai sortie et elle s’est installée sur mes genoux dès le départ. Là encore les plaisanteries fusaient de toutes parts. L’hôtesse a préféré ignorer ce qui se passait, à ma grande reconnaissance. Pendant tout le trajet, ma petite mère a été adorable. Elle a dormi, rêvé, ronronné, fait sa toilette. Elle avait, dès notre première rencontre, une totale confiance en moi. Donc, le voyage se déroulait bien. Il faut dire que je lui avais donné un comprimé avant de partir, mais un seul et je ne suis pas sûre qu’elle en avait besoin car elle était d’un tempérament très accommodant. Et puis elle avait une vessie à toute épreuve.

A l’arrivée à Nantes, la surprise quand Michel a vu le panier, surtout que mes collègues lui ont dit que des petits suivaient dans un autre panier ! Toujours les bonnes plaisanteries.

Nous voilà donc arrivées toutes les deux à la maison, la chatte tout de suite appelée Mimitte, ne s’est pas trouvée dépaysée. Aussitôt, Patricia et moi avons entrepris de lui raser tous les poils collés. Elle s’est laissée faire gentiment. Toujours cette confiance qui ne l’a jamais abandonnée de toute sa vie. Par contre le plus terrible a été le bout de la queue. Par le poids de la peinture, la queue traînait. Quand on a réussi à lui enlever ce capuchon de colle, on s’est rendu compte que sa peau suintait et commençait à s’infecter. Elle avait la chair à vif, et sautait partout dès que la plaie touchait quelque chose. Elle ne supportait pas de pansement. Patricia ne pouvait pas s’en occuper, la chatte grimpait aux rideaux. Je l’ai prise avec moi au lit et elle a réussi à se calmer car j’avais pris sa queue dans une main, le petit bout abîmé en dehors, à l’abri du moindre frottement. Nous avons quand même dormi. Le lendemain, la plaie était sèche et notre bestiole tranquille. Ensuite, tout s’est très bien passé. Elle devait avoir à peu près un an et à la maison il y avait Bip, un copain tout noir et très joueur. C’était la belle vie, je lui donnais la pilule et tout se passait bien. (Voir la suite plus bas)

Mimitte et Ati

Mimitte et Ati

Mimitte était une très belle chatte, surtout elle était très grande. A part Biquet qui, lui aussi, était grand, je n’ai jamais eu de chat de sa carrure. Ses pattes étaient  grosses et longues. Elle était très gentille, mais surtout avait une grande confiance dans les humains : chez le vétérinaire elle ronronnait et se laissait faire sans miauler. Elle ne voyageait jamais dans un panier.

Un jour, un lundi de Pâques (mes animaux trouvent toujours le moyen d’être malades un jour férié), notre Mimitte nous a fait une métrite, donc opération d’urgence, et voilà notre Mimitte allégée. Quand je dis allégée, le pire a été quand le vétérinaire l’a opérée, plus tard, d’une tumeur aux mamelles malheureusement cancéreuse, elle a perdu un kilo. Mimitte pesait sept kilos, mais j’ai vu pire avec Coquine qui en fait huit. La pilule, les opérations et la nourriture à volonté en ont fait des obèses, tant pis !

Mimitte a traversé notre vie doucement, sans éclat. Elle était très présente, douce, calme, elle n’a malheureusement jamais eu l’occasion de pouponner.

Elle a eu une tumeur à une oreille, externe heureusement. Le docteur nous a prévenus qu’il allait être obligé de l’amputer de tout son pavillon ; tant pis, après tout l’esthétique passait au second plan. Mais quand nous sommes allés la chercher le soir, eh bien ! notre Mimitte n’était pas «défigurée». Le travail avait été parfait et cela ne paraissait presque pas. Quand même, …même si on ne se regarde pas dans une glace, on n’en est pas moins une chatte coquette !

Quand Mimitte nous a quittés en 1997, elle a beaucoup souffert. Son cancer ne lui a pas laissé beaucoup de répit. Nous avons dû l’emmener chez le vétérinaire pour qu’il abrège ses souffrances. Ati venait tout juste de nous quitter, j’étais malade et c’était la deuxième qui m’abandonnait en peu de temps. Ils sont partis à cinq dans la même année, au moment où j’avais le plus besoin d’eux. Plusieurs personnes m’ont dit, allez savoir pourquoi, que c’était pour me sauver moi, pour me guérir. Je n’accepte pas que ma guérison soit au détriment de la vie de mes animaux. Mais pourquoi m’ont-ils laissée ? Je ne sais pas si un jour, j’aurai une réponse.

Pourquoi l’avait-on surnommée la grande bâilleuse ? Eh bien ! Mimitte bâillait tout le temps. Pas parce qu’elle avait sommeil, non, mais ça lui plaisait. Quand elle attendait sa soupe : elle bâillait ; quand on lui parlait : elle bâillait. Notre plaisir était de lui dire : «alors Mimitte, tu ne bâilles pas ? », et notre grosse mère nous montrait sa gorge, tout ça accompagné d’un « moaou!! » sonore. Nous l’avions surnommée aussi Chaîne Gaz Service car un spot publicitaire à la télévision nous avait présenté un jour un sosie de Mimitte avec un bonnet sur la tête. Patricia n’a pas pu laisser passer ça sans affubler notre pauvre chatte d’un bonnet. La ressemblance était saisissante. Fin!

Extrait de mon livre : Une bien belle petite famille.

 

 

Publié le par Yvette
Publié dans : #Divers, #Machine à écrire
N'est-elle pas belle cette vieille machine? Dans le fond il reste du papier blanc jauni et du papier carbone!

N'est-elle pas belle cette vieille machine? Dans le fond il reste du papier blanc jauni et du papier carbone!

Un extrait de mon livre sur mon enfance en Algérie.

....et le bureau des gendarmes jouxtait notre salle à manger, sa fenêtre donnait sur la cour et l’on entendait papa taper sur sa machine à écrire. Il l’avait achetée à crédit, elle n’était pas fournie par l’armée et il s’était privé pour avoir cet outil. Il ne tapait ses rapports qu’avec deux doigts (en ce moment, moi, c’est avec trois doigts, ce n’est guère mieux) et avec une rapidité époustouflante. Et quand nous voulions qu’il nous apprenne à écrire sur sa machine il refusait toujours disant qu'il y avait une technique, la dactylographie et que nous prendrions de trop mauvaises habitudes. Il était fier de sa machine Rémington portable. Nous l’avons rarement vu écrire à la main sauf sur ses derniers jours. Je le revois intercaler une feuille de papier carbone bleu marine entre deux feuilles de papier blanc très fin, ainsi gardait-il toujours un double de ses rapports. Et ses rapports étaient impeccables : sans faute et d’un français parfait. Il était intolérant vis à vis des fautes d’orthographe. D’ailleurs à ce sujet  nous avions droit presque tous les ans (pas plus heureusement !) à une dictée, nous ses enfants. Mais cette dictée était spéciale. Il arrivait que de jeunes hommes veuillent intégrer la gendarmerie et le premier test qu’ils devaient passer était une dictée (il fallait que les rapports écrits fussent exempts de fautes d’orthographe) et notre père servait d’examinateur. Et Arlette et moi, nous n’y coupions jamais. Cela lui donnait ainsi une idée du niveau scolaire de son élève ! Et c’était généralement très faible. Aussi aidait-il les postulants en exagérant la diction : « j’ai dit bocage et pas boccage !

Je l'ai découverte dans le grenier, pleine de poussière! Combien de rapports a-t-elle reproduits, je ne saurais le dire!

Je l'ai découverte dans le grenier, pleine de poussière! Combien de rapports a-t-elle reproduits, je ne saurais le dire!

J’aimais le bruit que faisait le  chariot de sa machine et je me souviens de ses difficultés pour changer le ruban : ses mains étaient de vrais battoirs ! Il nous faisait peur quand il nous disait : «  veux-tu goûter à ma giroflée à cinq branches ? » en nous présentant sa main ouverte – il pestait à chaque fois qu’il se déroulait mal. Aucun mot grossier n’était prononcé – nos parents étaient d’une politesse rare, je ne les ai jamais entendu prononcer une invective,  tout au moins jamais devant nous. Quand nous sommes arrivés en France, il nous fallut faire de grands efforts pour supporter les grossièretés que nous entendions. Il nous paraissait absolument déplorable que le français que nous entendions parler en France fût aussi incongru. Grossièretés ajoutées au jargon régional, nous avions du mal à comprendre ce français-là.

Cette machine à écrire est toujours chez nous, c’est une relique.

J'ai retrouvé dedans une lettre adressée au Procureur de la République, écrite en plusieurs exemplaires. Mon père avait 81 ans à l'époque et pas une faute d'orthographe. Beau n'est-ce pas? Je ne l'avais jamais ouverte quand je l'avais récupérée!

Publié le par Yvette
Publié dans : #Les arbres, #Hêtre
Ce hêtre nous sommes allés le "voler" en forêt de Sologne, nous ne pensions pas qu'il serait si beau en automne

Ce hêtre nous sommes allés le "voler" en forêt de Sologne, nous ne pensions pas qu'il serait si beau en automne

Du massif ondoyant que sa tête domine
Le hêtre vers l'azur constamment s'achemine
Pour boire à pleins rameaux les rayons du soleil.
Chaque aube nouvelle, au lumineux réveil
De la nature, mère immortelle des sèves,
Son murmure encourage et prolonge nos rêves
Jusqu'à l'heure navrante où son cœur précieux
Vient rendre à nos foyers sa flamme prise aux cieux.

 

Victor Nadal

 

 

 

Publié le par Yvette
Publié dans : #Les arbres, #Brière
Les saules de Kerfeuille

"Un de mes arbres préférés qui laisse galoper l'imagination

qui se fait narcissique

quand ce bel étalon de la nature se mire dans l'eau

et vient poser ses lèvres vertes sur la surface et boire à l'amour."

 

Un beau commentaire de la part de Moun.

à la vue d'un saule sur mon blog!

 

Cette photo a été prise en Brière, dans un endroit que j'affectionne particulièrement!
 

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