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BEJAR PASSION

BEJAR PASSION

MES PASSIONS AU FIL DES JOURS

Articles avec #defi ghislaine catégorie

Publié le par Yvette
Publié dans : #défi Ghislaine, #Algérie

Ghislaine 146

les 8 mots

année, nouveau, passage, vie, 

songer, prévoir, élan, après.

Ou un texte sur le thème "" Changement ""

C’était lannée de mes dix ans. Je n’avais pas prévu ce qui allait m’arriver, nous arriver à toute la famille. Ma vie allait basculer. Je n’avais jamais songé un seul instant que je n’étais que de passage dans ce village merveilleux. Je n’avais que quatre ans quand j’ai découvert cet endroit, où j’ai appris, où j’ai découvert la vie. C’était beau. J’étais myope sans lunettes ainsi je ne voyais que ce qui était près de moi. Et c’était magique. Moi je ne lisais que des contes de fée, je vivais en réel entourée d’animaux, de fleurs et de coquillages car il y avait la mer.

Il allait falloir partir, quitter cet endroit. C’était tout au début des événements en Algérie, et mes parents avaient décidé de retourner en France pour plus de sécurité. Pour eux, ce n’était qu’une page de leur vie, ils retournaient chez eux, pour nous les enfants c’était notre pays natal.

« La métropole » comme on disait. Qu’allais-je découvrir dans ce pays « étranger » pour moi ? J’étais partagée entre deux sentiments : partir à la découverte de ce pays nouveau et laisser ma petite enfance derrière moi. Laisser une partie de mes amis les animaux, laisser mes fleurs et mes plages de sable et de galets. Qu’allait être ma vie daprès ? Pas d’ardeur, pas d’élan pour aider ma mère à faire les bagages. Moi qui avais semé des graines de fleurs que mon père m’avait données, je n’allais pas les voir sortir de terre. Quand on a dix ans, on ne ressent pas les événements de la même manière que les adultes.

Ah ! c’est certain que le changement a été dur à supporter. La température ! A Nantes il n’y a pas souvent de neige, il a fallu que cette année-là, il en tombe et moi, cela m’a clouée sur place. Je n’en avais jamais vue, et cela ne m’a pas plu du tout. L’horreur ! c’était beau mais j’avais au fond de mon cœur cette petite phrase que ma mère me répétait souvent « Pense à ceux qui n’ont pas d’abri ». Et je la traîne encore et encore !

Une toile de ma composition représentant "ma" plage.

Publié le par Yvette
Publié dans : #Histoires de chiens, #Animaux, #défi Ghislaine

N° 145 chez Ghislaine

les 8 mots

courage, valeur, pouvoir, agir

fonction, action, affirmer, toujours

ou avec des mots  contenant "" ien"""

Le nombre des années ne m'empêchent pas de jouer à la "baballe"

Ah tiens , voilà mon vieux chien ! D’où viens tu ma grande ? Tu me parais bien fatiguée toi, il t’en a fallu du courage pour arriver de ta promenade avant ta maîtresse . C’est bien! tu es une grande chienne, tu peux être fière de toi.

La valeur n’attend pas le nombre des années, dit-on , chez toi , les années sont là et l’arthrose aussi. Il a fallu que ta tête et tes pattes soient bien actives pour tenir le coup après une jeunesse si triste, avant d’être recueillie par le refuge et enfin chez ta maîtresse actuelle. Il a fallu t’affirmer, car elle t’en a fait courir des kilomètres près d’elle, elle, habillée en fonction des saisons parfois méconnaissable l’hiver. Mais toi toujours vaillante, la queue en l’air, sans cesse en mouvement.

Je me souviens du jour où je suis allée te chercher au refuge, ta maîtresse m’ayant fait confiance, tu étais adorable et voilà une femelle noire, taille moyenne, et surtout sociable vis à vis des chats, et en besoin d’espace. J’ai agi rapidement ; tu avais peur dans la voiture mais heureuse en arrivant dans ce terrain si grand, et aussi dans la maison qui avait déjà abrité pendant de longues années Boby. Lui je l’avais sauvé d’une euthanasie prévue dans la semaine par son maître. On ne refera pas les gens n’est-ce pas ?

Maintenant dans la journée on est ensemble, tu squattes tous les fauteuils et les lits, eh! oui, tu as tous les droits, tu es la reine !

A savoir que ce grand chien a un nom: LOUVNA !

Publié le par Yvette
Publié dans : #défi Ghislaine, #Mémé

 Ghislaine Atelier no 143

les 8 mots

Armure, ancien, accoutrement, costume,

temps, jeu, paraître, long.

Ou un texte avec

au moins 5 mots commençant par P. 

 

L’aut'jour j’a vu passer d’vant cheu nous, l'père Perrin,  il marchait d’traviol, l'était pouillé d'son costume de dimanche, et par-dessus, un genre darmure, un drôle d’accoutrement qu’il avait sul’dos ma fouée!

-J’ui dis : d’éou qu’tu vins donc comme ça, mon pov malureux ? Et où qu’t’as donc récupéré tout ça, qu’c’est ancien comme du temps des croisades?

-Ah ma bonne Ipomée, j’suis passé par darrière la maison au père Mathurin à haut du ch’min et il avait sorti plein de drigaille et comme moi nigaud comme que j’suis, j’m’ai arrêté et il m’a collé plein de trucs su’l’dos pour se débarrasser. Il paraît qu’y aura une fête dans l’coin quand qu'le virus il aura claqué, et qu’y faudra s’déguiser. Et qu’y aura des jeux. Moi j'aime ben ça , m'déguiser!

Gif emprunté à petite mimine

- Qué parouaissien tu fais là,  tu t’as fait berner mon pouvere gas, jamais entendu causer d’ça !

-Oh dame, fi’d’garne, tu sais j’vas pas faire long feu avec ça su’l’dos, j’vas faire un grand feu avec, m’a ben eu c'te mauvaise tègne là ! L'a ben dû riguenasser darrière mon dos! J’lui rendra la monnaie d’sa pièce un jour, oui da . Va s'en souv'nir l

Publié le par Yvette
Publié dans : #Défi Ghislaine, #Mémé, #Humour

Chez Ghislaine

Anecdote, frimousse, récit, avant,

journal, surprise, lire, voir.

Ou Un texte thème Humour.

Dame ! Gigi al a raison, faut point s’laisser aller, et rigoler il parait qu’c’est bon pour la santé.

 Avant, du temps d’feu mon bonhomme on ajetait l’journal, j’crois ben qu’à l’époque c’est déjà l’Eclair. Et y avait un genre de dessin comme les bandes dessinées mais qu’c’était des genss du coin qui causaient en patois nantais et dame c’qu’on a pu rigoler avec ça ben des fois quand qu’on lisait ça.

C’était un couple comme mon homme et moi, Julien et Valentine qui s’nommaient. Leur en est-y arrivé des histoires à ces deux-là ! Des anecdotes comme on dit en bon français y en avait toutes les semaines et c’était la surprise.

Qui qui vont raconter c’te fois-ci ? c’était point des grands récits, bé fallait voir à lire aussi.

J’en ai ret’nu une bonne.

C’t’année là il avait fait si froid qu’le muscadet avait gelé dans la barric au père Auguss. Et tous les hommes avec le Julien sont allés voir ça dans sa cave et qui passait son temps à casser la glace et forcément tout le monde par le fait à licher c’te glace. C’était ben bon !

En rentrant l’soir la patronne Valentine, qui dit à son Julien : « d’éou qu’tu viens avec ta frimousse moustachue toute poissouze. »

 Dame qui répond j’ai sucé d’la glace.

 D’la glace ? fais-moi point rire. T’as ben une goulle à sucer d’la glace !!

Si dame, ben sûr que si ! Qu’les autes ils ont dit que ce srait-y pas une bonne idée à mettre pour l’été sur la plage de la Baule », un truc comme ça.

 J’me rappelle pu des bons mots, ça date de vieux, maintenant on voit pu ça !

Mais on rigolait ben en c’temps-là !

N’empêche qu’en y pensant : l’vaccin qu’on conserve dans la glace, ce srait t’y pas plus rapide de l’licher dans des cornets ? Ce s’rait plus rapide qu’la piqûre dame ! Et personne refuserait de s'faire vacciner. Dame sûr!

Publié le par Yvette
Publié dans : #Mémé, #Défi Ghislaine

Atelier no 141

les 8 mots

feuille, frileux, force, frêle,

poser, prendre, avoir, courir.

Ou/et/ le thème

au moins 5 mots commençant par " cou" 

dans un petit texte.

 

Dame cette fois-ci c’est ma Gigi qui va être à l’honneur, ça fait ben longtemps que j’lui ai point écrit ! doit s’faire du mouron et s’demander késki m’arrive !

Bé ! j’sais ben aussi qu’al est point en forme, qu’al est terjous à courir partout, al trouve pas moyen d’se poser ! al va ben finir par le choper c’te foutu virus à force d’aller partout comme ça ! Va ben la prendre à r’vers dame !

Faut dire qu’c’est point gai d’ce temps-là, avec un hiva, qu’on sait point d’éou qui vient,  moi j’ose point bouger, j’suis très frileuse en plus.  Et pis c’est pas la graisse qu’j’ai su’l’dos qui va m’faire tenir. Toute frêle et plate comme une feuille de mon noisetier.  Vous avez-t-y vu les feuilles de noisetier à l’automne ? quand qu’als tombent als collent su’l’chemin quand qui mouillasse, sur les routes ça couvre tout,  et pas moyen d‘les décoller, comme du papier de … ah !  comment dire ? des cabinets ! voilà !

Toutes façons point moyen non plus d’avoir un rendez-vous pour l’vaccin ! l’en faut du courage dans c'te foutue vie ! On nous force à courir partout et en même temps on nous dit d’point bouger !  pour sûr qu’si on l’gobe le virus , avec son cousin anglais, sûr, qu’ça va nous chauffer la couenne ; et même nous cuire pour de bon ! et on s’ra ben couillonnés, sauf vot’respect m’sieurs-dames !

Bon en attendant, j’vas prendre mon coutiaou et couper mon pain pour tremper mon brouet.

Publié le par Yvette
Publié dans : #Au-gré-de-mon-jardin, #Plaisir des mots, #défi ghislaine, #pensées
Pensées, Atelier 136 Chez Ghislaine

Defi Ghislaine 136

Escalade, esprit, déposer, charmer,

craindre, sot, joli, fier.

Ou le thème "" Pensées au plus large du thème ""

Petite pensée aux tons violet et jaune, quel esprit malin t’a déposée là ?

Qui a escaladé ce petit vallon pour te nicher au creux de ces rochers.

Il n’était pas si sot, remarque, tu rayonnes avec tes sœurs.

Et puis là vous ne craignez pas la section de la tondeuse jalouse de vous.

Soyez fières mes jolies petites amies,

Plus bas les charmantes pervenches vous envient.

Publié le par Yvette
Publié dans : #défi Ghislaine, #Plaisir des mots

 

Notre Ghislaine nous propose pour ce défi  132

Les 8 Mots 

Perdre, pari, avaler, galop, vivre, aussi,dans, avec..

Et, ou le thème,

faire un texte avec au moins 5 mots commençant par K.

 

Salut la compagnie, c’est moi Mémé, ou Ipomée comme vous voulez.

 Ça fait une paye que j’vous ai pas écrit, je n’savais point comment faire en rapport avec Yvette.

Vous avez su qu’al a été malade et qu’aussi à c’temps-là, son blog il a eu des ratés.

Plus rien n’allait !

 Même que j’aurais parié qu’al allait y passer, la pôvrette.

 J’la voyais perdre l’appétit, al arrivait plus à avaler sa soupe et pourtant al disait qu’al prenait du poids. Vous vous rendez compte?

Moi j’comprenais point, rin dans l’corps et al pesait plus lourd.

Et al allait voir sa doctoresse, al en avait marre de tous les médicaments qu’al avalait. Al en voulait plus.

Mais sa toubib, al a dit ferme : « c’est le cardiologue, qu’a dit, alors faut prendre !!! ».

Al pouvait plus conduire, al étouffait.

Quand que le cardiologue il l’a r'vue sur le fauteuil roulant. « Oh là là, mais y a plein d’eau là-dedans qu’il a dit, faut arrêter tous les médicaments et prendre un diurétique », un truc comme ça, c’est c’que j’ai compris.

 Et voilà l’affaire !

 Al avait pris 3kg, les a reperdus en une semaine.

 Toute l’eau autour des poumons est partie. Incroyable !

  Point étonnant qu’al t’nait pu d’bout.

Dame j’la vois revivre, oh ! ben sûr al va pas au galop déhors mais l’est debout, c’est l’principal.

Ah oui mais j’a point fait de texte avec des K moi. Que qu’je va raconter ? Qu’mon voisin d’l’ouche plus loin, l’père Kakou qu’est moitié tordu, il s’est core allé s’balader avec sa t’nue kaki et son képi, du temps qu’il était en Kabilie. L’soleil, l’a dû lui chauffer la cafetière, dame ! il marchait dans la rue en soufflant dans sa trompette avec son corniaud d’chien dans un kadi. L’était core bourré ! Ça boit dur là-dedans !

Bon, allez mes amis, chui benaise d’être rev’nue vous vouère ! A la r’voyure !

Publié le par Yvette
Publié dans : #Défi Ghislaine, #saisons, #Plaisir des mots

Notre amie Ghislaine nous propose pour son défi 122

soit 8 mots

Fort, ciel, heure, massive, hier, bon , voie, éclairée

soit le thème,""Saisons""  

 

Nos quatre saisons chez Ghislaine défi  122

Il n’y aurait plus de saisons me dites-vous ?

Moi je vous répondrai qu’elles sont désorientées,

Certaines un peu dérangées, d’autres beaucoup

Mais elles demeurent. Un peu déboussolées !

L’automne glorieux me paraît assez fidèle,

Suivi d’un hiver singulier, court et peu froid,

Aux prairies humides, sous de très profonds ciels,

Et aux aurores rouges derrière les sous-bois.

Le printemps précoce se hâte avec douceur.

Vient une profusion massive de couleurs

Envahissant un été hâtif et brûlant,

Rendant la terre desséchée et craquelée.

Les ruisseaux silencieux, secs et fort désolants,

Ne charrient plus les lourdes branches emmêlées !

Juillet, août, autarcie imposée, comme hier,

Car la canicule obligeant les pauvres vieux,

Ainsi qu’à l’heure de transmission meurtrière,

A vouloir sauvegarder leur temps si précieux.

Octobre épuisé roussit la chaude feuillée,

Il fait bon enfin jouir des douces soirées,

Plus fraîches mais aussi plus écourtées.

Le soleil baisse un peu plus, confus, désolé.

Le cycle reprend son cours, et ses aléas.

Le sort en est jeté, vivre avec, il faudra !

Nos quatre saisons chez Ghislaine défi  122
Publié le par Yvette
Publié dans : #Au-gré-de-mon-jardin, #défi Ghislaine, #Plaisir des mots

 

 

Ghislaine nous propose pour son défi 120

8 mots à intégrer dans un texte ou un thème: "Changement"

Voici les mots:

"Jeter, trier, ranger, vider, abus, refuge, mépris, volonté"

 

Ah ! le changement ! Qui n’en n’a pas connu ?

Quand j’étais enfant mes parents déménageaient tous les 2 ou 3 ans, mon père étant dans la gendarmerie en Algérie pendant vingt ans.

Trier, remplir les cartons, les vider ensuite… toujours ranger et jeter pour n’avoir que peu de volume à déplacer.

Et récemment j’en ai connu un de changement qui m’a vraiment secouée,

aussi, je ne vais pas parler de ça, je ferais pleurer dans les chaumières.

Je vais plutôt vous parler de mon nouveau jardin, c’est plus frais, plus beau, plus charmant.

Charmant, oui quand tout est fini mais…

quand nous avons acheté ce terrain dans l’espoir d’y voir un jour une maison pour notre retraite,

il nous a fallu beaucoup de patience, de courage, d’esprit d’équipe à deux et de volonté !

Et tout ceci au mépris de nos jours de congés. Mais nous avions le même objectif.

Ce que nous ne savions pas c’est que quand, enfin les fondations de la maison furent creusées, une surprise nous attendait.

La terre était épaisse, lourde avec des plaques de roche friable mélangées à de la glaise.

Il pleuvait et l’eau stagnait. Bref une terre où il ne poussait que des coquelicots très maigres.

Et par la suite, mon père très bon jardinier, nous a greffé des arbres fruitiers qui sont tous morts, malgré les bons soins qu’on leur apportait.

Il ne poussait que des arbres sauvages en plus des noisetiers, châtaigniers, néfliers.

Alors nous nous sommes contentés de notre vieux chêne et de choisir des arbres en forêt et qui ma foi sont du plus bel effet.

Terrain humide bordé d’un ruisseau débordant après les pluies, nous avons fini par faire creuser un plan d’eau.

Notre fille a hérité de cette maison, ma santé ne me permettant plus de m’éloigner des hôpitaux de la ville.

Le temps a passé. Seule depuis quatre ans, je suis venue rejoindre ma fille et son grand terrain.

 J’ai eu droit à mon petit lopin de terre pour y mettre des fleurs.

Mais la terre n’avait pas changé. Toujours aussi mauvaise. Il fallait faire avec.

Cependant elle m’attendait cette terre, elle savait ce qu’elle allait avoir à m’offrir.

Elle savait que ce terrain c’était un de mes rêves d’enfant, avoir un grand espace avec des arbres et des animaux.

Chats et chiens.

Et quelle ne fut ma surprise en constatant que les boutures d’hortensia que j’avais faites sont plus belles en terre qu’en pot?

Que mon fuschia se sent bien de même que mon rhododendron et mon azalée.

Mon azalée qui s'étale

Mes boutures de rosiers ont pris de l’ampleur et les boutons commencent à paraître.

L’acanthe et ses magnifiques hampes fleuries en forme d’épis se plaît si bien qu’elle a envahi une bonne partie d’une plate-bande,

il a fallu sévir et tailler drastiquement mais en laisser suffisamment pour cacher les chats quand il fait soleil.

Les escargots eux, n’hésitant pas à se servir des feuilles comme refuge et avec abus.

Si bien que les belles ombrelles étaient toutes percées.

Je craignais pour mes bourgeons de rosiers tout proches.

Alors tous les jours je prends des photos quand il ne pleut pas comme aujourd’hui.

Pas besoin d’arroser.

Ainsi vous voyez, j’ai totalement changé de vie à soixante dix huit ans et c’est là que je me suis rendue compte que j’avais la main verte.

C’est fou les boutures que j’ai faites et qui ont réussi ! surtout à partir de rosiers de mon beau-père, qui étaient très vieux et que je continue à faire vivre et nous embaumer, plus de cinquante ans après !

 

"Changement" chez Ghislaine, défis d'écriture n° 120

Ce n'est pas "la rose rouge de monsieur Beaucaire" mais "la rose rouge de mon beau-père !"

Elle était encore en pot, bouture faite en Août 2019, fleurie le 4 avril 2020. La branche du pied père était tombée et il ne fleurissait plus. Beau sauvetage, non?

Publié le par Yvette
Publié dans : #Défi d'Evy, #Defi Ghislaine, #Patois nantais

 

Les mots imposés

Jeu, jardin, cuisine, haut, amusant, modération, meilleur, immense.

Ah ! mais !  ma mémé est complètement retournée ! Elle se dit qu’Yvette et Ghislaine vont un peu vite . C’est bien gentil tout ça mais faut pas s’immiscer dans la vie des gens comme ça. Elle tourne dans la cuisine comme un lion en cage, c’est pas amusant tout ça ! elle vient de lire ce qu’a raconté Gigi sur son blog.

 

Elle va en haut, redescend, va dans le jardin, ne sait plus où elle en est ! Ce n’est plus du jeu.

Bon, elle finit par s’asseoir, réfléchit, se lève, revient sur ses pas. Elle est dans un immense désarroi. Mais après tout, pourquoi s’énerve-t-elle ? L’ami Totor lui-même aimerait la rencontrer. Elle avait eu la même idée. Alors ? Mais voilà, même s’il veut l’inviter à prendre un coup de bon Vallet ( muscadet) , même avec modération, elle espère que ses intensions sont des meilleures . Oui, d’après Ghislaine, alors où est le mal ? c’est pas souvente fois qu’elle invite ou se fait inviter, non pour sûr !

Quand- même ! Avoir la même idée ! Mais comment faire ? les messages vont se croiser, encore un souci de plus. Elle est bin en renaud ce jour ! (Ennuyée). C’est qu’elle a écrit quelque chose chez Lady Marianne pour dimanche avec les anagrammes et voilà ! et là elle dévoile son prénom !

Et puis pourquoi 3 mémés, hein ?  Mémé, elle,  c’est le diminutif de son prénom. Alors ? pauvre Mémé qui ne sait plus où elle en est, toute tourneboulée, dame.

Quand à vous, si vous voulez savoir, il faut passer chez Yvette Dimanche ! http://yvette-richard-lequeau.over-blog.com/.

Mémé est enfin calmée, elle fait confiance à Ghislaine. Maintenant elle se prépare pour la rencontre!

 

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