Banquise rouge
J'ai reçu ce message de Rose.
Et je vous demande de faire suivre à votre tour SVP.
Ce combat devait être terminé à jamais...
MERCI DE FAIRE CIRCULER pour sensibiliser le plus possible l'opinion publique.
Rose des chats du Maquis
Nous avons reçu cet article, "le massacre des phoques a commencé sur la banquise du Canada", accompagné de ce billet de détresse de Philippe, un des maintenant 8 lanceur d'alerte pour Terre sacrée :
Voilà Michel, nous y sommes.
Aujourd’hui est un lundi noir, ou plutôt devrais-je dire, un « bloody monday ». La banquise a déjà commencé à se recouvrir, comme chaque année à la même époque, d’un épais manteau de couleur rouge carmin, et cela va durer 4 mois.
Tu l’auras compris, la chasse aux bébés phoques a débuté ce jour, et tu sais, comme j’ai déjà eu l’occasion de t’en faire part, qu’il s’agit là de l’un de mes principaux combats.
Cette année le quota a été fixé à 338.200, initialement de 280 000 et récemment augmenté de 55.000 par le gouvernement canadien. Ce n’est qu’un quota, la réalité est toute autre.
Je ne ferai pas de commentaires ce soir car j’en suis incapable, assommé par l’émotion et en larmes alors que j’écris ces lignes.
Ce qui suit résume plutôt bien la situation ; j’ai choisi cet article parmi des dizaines reçus depuis maintenant plusieurs semaines, car il a été rédigé par quelqu’un « de l’intérieur », une québécoise, probablement mieux placée que nous pour dénoncer cette ignominie, n’hésitant pas à égratigner au passage certaines organisations prétendument écologiques, et démontant un à un les arguments avancés par les défenseurs de la chasse cherchant de plus en plus à se justifier devant un monde qui a désormais les yeux rivés sur eux.
Il ne s’agit pas ici d’un témoignage sur la barbarie elle-même, mais sur l’hypocrisie de ses principaux acteurs, chasseurs, gouvernement, et associations écologiques.
J’ai par ailleurs trouvé des témoignages d’ex-chasseurs de phoques qui aujourd’hui regrettent amèrement leurs gestes, j’y reviendrai prochainement.
Un diaporama est en préparation.
Aujourd’hui, on assomme, on poignarde, on égorge, on crochète, on traîne, et malgré tout, on dépèce encore vivant des bébés phoques sous les yeux de leurs mères hurlantes et déchirées par l’horreur, la vue et l’odeur de tout ce sang.