Je dis "Mon" palmier car je l'ai connu tout bébé. Nous venions d'un pays où il y avait des palmiers partout et quand nous sommes arrivés en France, dans la cour de la caserne, il y avait un palmier d'une hauteur vertigineuse
Et à son pied: une petite pousse. Et mon père, très bon jardinier, l'a mis en pot et il est resté ainsi vingt années. Et il l'a planté dans notre jardin quand nous avons fait construire. Il est très beau , il a soixante quatre ans.
En haut vous voyez ses grappes lourdes . Plus bas, elles ont éclaté et voici ce que je retrouve par terre. Là ça va , car ça tombe sur les dalles, mais il y a peu, c'était un bassin avec des poissons. Vous vous doutez bien, que le nettoyage était ardu, il a fallu sévir. Comme il ne restait plus de poissons, nous avons supprimé les deux bassins en cascade qui récupéraient toutes les petites fleurs jaunes.
Il y a eu des graines. Et j'ai même eu des petits palmiers. Il y en a un en pot chez notre fille!
Quand je quitterai cette maison, car cela viendra bien un jour, je le regretterai mon palmier. Et peut-être que les acheteurs le scalperont, triste fin!
Je me console en me disant que nous nous sommes connus petiots et que nous partirons ensemble. Mais... sait-on jamais? il va peut-être vivre plus longtemps que moi!
Elle était très belle ma Calypso et d'une grande douceur.
Quand on me l'a apportée dans son panier, je n'avais même pas demandé comment elle était. C'était pour lui éviter le refuge. Et quelle fut ma surprise quand j'ai découvert cette beauté ?
Elle a beaucoup souffert avant de nous quitter, un virus dans sa gueule , elle ne pouvait plus manger.
Pauvre bichette si gentille!
La chambre, où l’été monotone
Confine les ors de sa gloire.
Une brise tiède frissonne
Et creuse d’argentines moires
Sur la chatte aux yeux de démone
Qui, sournoise et longue, vient boire
Dans le vase des anémones…
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