En ce moment les orchidées sont magnifiques dans les jardineries.
Moi, je ne sais pas trop m'en occuper alors je les laisse où elles sont, elles sont mieux que chez moi.
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MES PASSIONS AU FIL DES JOURS
En ce moment les orchidées sont magnifiques dans les jardineries.
Moi, je ne sais pas trop m'en occuper alors je les laisse où elles sont, elles sont mieux que chez moi.
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Partage de la chaleur du radiateur: Chipie et sa sœur Dorothée
Partage de la lecture: Chipie et Aphrodite
Partage du fauteuil : Coquine et son fiston Chouchou
Partage du panier: Chipie et Dorothée encore
Partage des câlins: il y a plus de 40 ans, Biquet, Pupuce et Baby avec Fifille
Partage de la soupe: il y a près de 20 ans, la grande famille mais pas au complet!
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Ce Bougainvillier blanc ou "Marie Blanc" est magnifique, vous ne trouvez pas?
Découvert dans la jardinerie proche de chez moi, je n'ai pas hésité à le prendre en photo.
Cette fleur est symbole de Sérénité
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Odyssée d’une goutte d’eau
Elle a jailli de sa source, enfin libérée
De cette gangue de roche brune et glacée,
Petite goutte d’eau pure, un peu perturbée,
Glissant, fragile, sur les pierres vernissées.
Un courant malin l’entraîna dans son sillage,
Dévalant des pentes abruptes et ourlées
D’arbrisseaux échevelés et de fins herbages
Givrés, l’embellissant de merveilleux reflets.
Elle fila, heureuse, entre des saules nacrés
Se courbant sur son propre miroir diaphane,
Puis s’étala, ivre, sur des sablons ocrés,
Bercée par la brise et sa mélodie profane.
Les tout premiers rayons de l’aube la surprirent
Et charmée, l’attirèrent, telle Loreleï
Par des visions de lointains atolls de corail.
De ruisseau en rivière, de rivière en fleuve,
Elle traversa des campagnes et des saisons,
S’accrochant parfois à des esquifs qui se meuvent,
Légers, l’entraînant vers de nouveaux horizons.
Enfin, l’irrésistible océan l’enjôla,
L’enroulant dans des vagues prises de folie,
La rejetant, en rugissant, avec fracas
Contre des carcasses ou des récifs maudits.
Ballottée par ce mouvement perpétuel,
Perdue, elle allait sombrer vers des fonds hostiles
Quand enfin, un ange la posa sur son aile
Et délivra la petite goutte fragile
Qui nous retrouva sur terre en larme de pluie,
Petite goutte d’eau, miracle de la vie
Yvette
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J'ai cette plante dans mon jardin devant la maison.
Les piafs aiment bien se cacher sous ses grandes feuilles
quand ils viennent chiper un morceau de pain
et qu'ils veulent le picorer, tranquillement.
Les hampes sont magnifiques variant du blanc au mauve.
Je n'ai jamais aimé la neige ni le froid, je suis une fille du soleil.
Mais j'aime le BLANC.
Une mariée en blanc, une fée, un lis, une rose...
Mais on pourrait penser que je n'aime pas le noir!
Mais si! Un beau chat noir, au pelage lumineux.
Un chat noir porte-bonheur.
Alors une fée en blanc et un chat noir,
Quelle belle dualité!
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Tu t'appelles comment, toi? Moi c'est Sissou!
Oh moi? Comment je m'appelle ? en fait je sais plus! J'ai eu un nom quand j'étais petit mais j'ai oublié! Ta maîtresse m'appelle Félix.
Ah bon? tu n'as plus de maitres? c'est pourquoi tu viens manger devant ma porte?
Oui, ta maitresse est sympa! On est deux comme ça!
Tu veux pas rentrer chez nous?
Non! Surtout pas! Y a un autre matou qui me fait peur et qui me tape dessus quand je rentre dans ton jardin!
Ah! ouiiiii, c'est Théo! Moi aussi j'ai peur de lui! Mais il est mal dans sa tête. Dommage parce que moi j'aurais bien aimé avoir un copain. Féline, c'est une fille, alors forcément, elle ne pense qu'à faire sa toilette, manger et dormir sur le canapé ou le lit!. Elle est fière de sa beauté.
Alors à une prochaine fois?
Oui je viens tous les matins pour 6h1/2 et le soir pareil, je sais que j'ai ma ration de réservée. La cantine est bonne chez toi! Allez à+ .
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J'ai osé brûler tous ces papiers
J'ai osé brûler nos souvenirs.
Mais tu le sais
Ils restent présents en mon cœur!
Des Souvenirs
Comme des feuilles sur un champ
Dispersées et emportées par le vent
Notre bonheur s’éloigne de nos yeux
Comme ces feuilles, rouges comme le feu.
Et pourtant, tes pensées restent avec moi
Malgré le vent du nord, violent et froid,
J’entends encore et toujours
Une chanson du passé, de notre amour.
Jacques Prévert
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