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BEJAR PASSION

BEJAR PASSION

MES PASSIONS AU FIL DES JOURS

Publié le par Béjar
Publié dans : #Mes chats d'occasion

Lequel des deux est le plus fréquentable ?

 

Patricia  habitait près de chez nous,

et dans notre quartier il y avait des chats tziganes,

en l’occurrence celui qui était surnommé Mimiroux.

(Qui, comme son surnom l’indique, était roux).

La chatte de la maison, Toupie, acceptait ce chat

mais elle le regardait avec dédain.

Pas beau !

Négligé !

C’était un vagabond.

Et elle ne voulait pas le fréquenter.

Un jour que ce mal fagoté s’était installé

devant l’assiette de soupe qui ne lui appartenait pas,

Patricia vit sa Toupie s’asseoir tout près de lui.

Beurk ! Il mangeait salement !

Son regard en disait long sur ses intentions.

Il allait se passer quelque chose,

il fallait qu’il se passe quelque chose.

Et effectivement il se passa quelque chose

mais pas ce qu’elle attendait.

Notre dédaigneuse Toupie se mit à roter au-dessus de l’intrus,

un gros rot bien sonore.

Peu digne d’une chatte de maison.

Le chat fit un bon en arrière.

Qu’avait-elle cette furie ?

Mieux valait partir sans demander son reste.

Et il se sauva à toutes pattes.

Et notre Toupie prit sa place sans remords.

 

 

Publié le par Béjar
Publié dans : #Animaux

Boby a déménagé
Il a délaissé le lit de Bryan et emprunté celui de Dorian.
Les lectures n'y sont pas les mêmes.
Les copains non plus !
Mais ce n'est qu'un essai !

Publié le par Béjar
Publié dans : #Algérie

La Méditerranée à Cherchell
photos prêtées par Caessar (http://caessar.skyrock.com/)
De merveilleuses photos vous attendent sur ce site.

                                                  Le tombeau de la Chrétienne
Publié le par Béjar
Publié dans : #Ma ville, Saint Sébastien sur Loire

Un nouveau pont est en construction 
sur un bras de la Loire
à saint Sébastien sur Loire

                                                  Travaux sur la rive de Saint Sébastien
Publié le par Béjar
Publié dans : #divers

Tel est pris qui croyait prendre

 

Un avocat de la ville de Charlotte ( Caroline du Nord) avait acheté une boîte de 24 cigares très rares donc très chers, et les avait assurés, entre autres contre l'incendie.

Dans le mois qui suivit, ayant entièrement consommé sa réserve de cigares, l'avocat envoya une réclamation à sa compagnie d'assurance!

Dans sa réclamation, il indiquait que les cigares avaient été perdus 'dans une série de petits incendies'.

La compagnie d'assurance refusa de payer en citant la raison évidente que l'homme avait consommé les cigares de façon normale en les fumant.

L'avocat intenta une poursuite. ET IL LA GAGNA !!!!

En délivrant son verdict, le juge fut d'accord avec la compagnie d'assurance pour admettre que la réclamation était de nature tout à fait frivole.

Cependant, le juge indiqua que l'avocat détenait une police de la compagnie qui stipulait que les cigares étaient protégés et que ces derniers étaient absolument garantis contre l'incendie, sans toutefois préciser ce qui constituait un incendie 'acceptable'.

Le juge déclara donc la compagnie dans l'obligation de rembourser l'avocat.

Plutôt que d'engager des procédures d'appel longues et coûteuses, la compagnie d'assurance accepta le jugement, et paya donc à l'avocat la somme de 15,000.00 $ dollars pour la perte de ses précieux cigares lors de regrettables 'incendies'.

ATTENDEZ CE N'EST PAS FINI !!!

Une fois que l'avocat eut encaissé le chèque, la compagnie le fit arrêter pour 24 chefs d'accusation d'INCENDIES CRIMINELS !!!

En effet, la compagnie utilisa contre lui sa propre réclamation ainsi que son témoignage lors du procès.

L'avocat fut accusé d'avoir volontairement incendié une propriété assurée afin de toucher le montant de l'indemnisation.

Il fut condamné à 24 mois de prison ainsi qu'une amende de 24,000.00 USD.

Ceci est une histoire vraie qui obtint la première place au dernier Criminal Lawyers Award Contest.

Publié le par Béjar
Publié dans : #Mes poésies
                                        Petite peinture réalisée sur bois


Le bois des Gripots

 

 

Ah ! Qu’il fait bon s’aventurer dans ces sous-bois,

A l’heure où l’été paresseux est encor roi.

Marcher sur les sentiers tracés par nos ancêtres,

Que faut-il de plus pour nourrir notre bien-être ?

 

S’enivrer, heureux, de l’odeur des baies sauvages

Des fougères, de la mousse  sous les feuillages.

Voir se faufiler dans l’herbe le vert lézard,

Sursauter inquiet à la crainte du renard.

 

Entendre le doux vent léger  dans la feuillée

Des  saules, des frênes,  bouleaux et prunelliers,

Des grands chênes formant une voûte sombre,

Des taillis touffus et  menaçants dans l’ombre.

 

Rejoindre la fée Carabosse buissonnière,

S’étourdir du cri des enfants dans sa clairière.

Oublier la ville bruyante pourtant proche,

Marcher, le cœur léger et les mains dans les poches.

 

Yvette

Publié le par Béjar
Publié dans : #bucolique

 

Le vin nouveau est arrivé
Vive le bourru !


                                   Après les vendanges, 
              ce que l'on attend c'est le bourru ou vin nouveau.
                       Le bourru, c'est le jus que l'on boit
                     aussitôt après le moût et avant le vin.
                 C'est un moment qui ne dure pas longtemps 
          car une fois la fermentation terminée, adieu bourru!
                  C'est doux, pétillant et très agréable à boire.
                              Mais il ne faut pas en abuser!
                             Vous voyez ce que je veux dire !

Publié le par Béjar
Publié dans : #Gouraya algérie

La pointe, photo envoyée par Rachid

La Pointe

  Ce n’était pas à proprement parler une plage ;
Il y avait beaucoup de rochers qui entraient dans la mer.
Il fallait être acrobate pour sauter de l’un à l’autre.
On y pêchait des «
arapèdes »,
ce que l’on appelle en France des «
berniques », et des oursins.
Il y avait aussi des poulpes, des pieuvres, il fallait s’en méfier.
Justement, en parlant de ces mollusques à tentacules,
Arlette et moi avons eu la peur de notre vie à cet endroit.
Nous étions en groupe mais cette fois-ci
avec des gendarmes en permission et de plus
un nouveau qui débarquait dans la caserne.
C’était son premier jour et il en profitait pour découvrir le village.
Il passait donc la journée avec nous à la Pointe.
Je ne quittais jamais ma sœur d’une semelle - c’était ma référence ! -
je la suivais en sautant derrière elle sur les rochers.
Et à un moment, la panique s’empara d’Arlette,
il y avait un poulpe «énorme»
qui commençait à tendre ses tentacules sur les pierres.
Moi, j’étais subjuguée, je ne bougeais pas.
Elle n’avait jamais sauté aussi haut de sa vie.
Elle criait et moi, je ne bougeais pas,
j’avais peur mais j’étais paralysée.
Heureusement que l’on est venu à notre secours.
Pourtant, nous étions prévenues :
les pieuvres pouvaient nous tirer dans l’eau
aussi facilement que de le dire,
nos petites jambes étaient une proie tentante.
Le mollusque n’a pas résisté à l’assaut de ses assaillants.
 Il a fini, le lendemain, sur la table
où notre mère l’avait cuisiné d’une manière particulière à elle
et elle avait invité tous les  protagonistes de la veille.

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