Retarder une décision inévitable. Autre sens possible : prendre du recul pour rendre possible une décision.
Cette expression est issue d'une métaphore sportive ancienne. On a d'abord employé "reculer pour le plus loin saillir" au XIIIe siècle puis "reculer pour mieux saillir" à partir du XVe siècle.
Je ne sais pas pour vous mais moi j'emploie souvent cette expression surtout dans le sens de retarder une décision inévitable. J'aime bien l'origine donnée par lintern@aute
J'ai trouvé ce texte qui m'a bien plu et qui, quand on y pense, est bien vrai!
Le pouvoir des mots sur notre corps
Imagine : tu pédales tranquillement sur ton vélo, et soudain tu entends : attention, tu vas tomber! Ton cerveau comme un bon petit soldat, enregistre l’information « tu vas tomber ». Que fait-il ? Il alerte le corps du danger de tomber. Celui-ci s’adapte alors immédiatement : il contracte les muscles et il prévient les émotions qui élaborent une protection en créant l’inquiétude… Et toi, sur ton vélo, tu commences à hésiter, tu essayes de changer de cap, mais en même temps tu as quand même envie de continuer ton chemin. Tu as deux informations contradictoires, alors soudain… badaboum! Tu te retrouves par terre… Ce ne sont pas seulement les mots que tu entends qui peuvent te faire tomber, ce sont aussi tes pensées. Le résultat sera le même si tu penses : je risque de tomber.
Donc lorsque tu entends : Ne mange pas ça, tu vas être malade! Arrête de t’énerver! Ne frappe pas ton petit frère… Qu’entends-tu en réalité?
Faisons une petite expérience : Si je te dis : ne pense pas à la couleur bleue. A quoi penses-tu? Je te laisse quelques secondes pour vérifier… A… la couleur… bleue! Justement! Donc quand tu dis ou que tu entends : ne te mets pas en colère, tu entends : colère et et ton corps enregistre l’information colère. Et quand tu dis : je suis crevé… ? Imagine ce qui se passe dans ton corps qui entend ça! Il a sûrement très, très peur! Ne vaut-il pas mieux dire: J‘ai besoin de repos?
C’est sous Louis XIV, dans la prestigieuse Galerie des Glaces de Versailles, que le Marron Glacé connaît ses premières lettres de noblesse.
En 1667, le Sieur de la Varenne nous donne son livre intitulé « Le parfaict confiturier » qui enseigne à bien faire toutes sortes de confitures, « la façon de faire marron pour tirer au sec », ce sont peut-être les premières indications écrites de la recette des marrons confits.
C’est en 1882 alors que l’économie locale ardéchoise spécialisée dans l’élevage du ver à soie traverse une crise due à une épidémie, que Clément Faugier, jeune homme du terroir, crée à Privas la première entreprise de Marrons Glacés. A une tradition gastronomique, il allie l’innovation et l’audace, réalisant ainsi la fabrication industrielle du Marron Glacé tout en conservant les qualités d’un savoir-faire artisanal. ses premières lettres de noblesse.
La liste de mes amis blogueurs est trop longue pour être mise sur cette page. Si vous voulez la consulter, allez ci-dessous, dans Activité du Blog et vous les trouverez.
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