Cette expression m'a été remise en mémoire par mon ami Chawki.
Les rues étaient autrefois aménagées en double pente afin de ménager un écoulement pour les eaux de pluie et les vidanges. Il était donc préférable de marcher le plus prêt possible des façades, sur la partie la plus élevée. Et lorsque deux personnes venaient à se croiser, celle de rang le plus élevé avec des vêtements plus amples et plus longs conservait le haut du pavé, l'autre devait "naturellement" descendre plus bas pour lui laisser la place au sec et circuler où coulait les "eaux usées". Les homme devaient aussi, par galanterie, céder le haut du pavé aux dames.
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